1 contre l’Italie, but le plus rapide de l’histoire du Championnat d’Europe

So schnell kam noch keine Mannschaft bei einer Fußball-Europameisterschaft zur Sache. Albanien, erst zum zweiten Mal für die EM-Endrunde qualifiziert, traf bei seiner Premierenvorstellung dieses deutschen Sommerturniers schon nach 22 Sekunden zum 1:0 gegen völlig verdutzte Italiener.

Nedim Bajrami, in der abgelaufenen Serie-A-Saison mit US Sassuola abgestiegen, wähnte sich im Fußballhimmel, als er einen völlig deplazierten Einwurf des Linksverteidigers Federico Dimarco dazu nutzte, den Ball unters Dach des italienischen Tors zu zimmern.

Ein Knalleffekt als Schockmoment für die Italiener oder Ansporn, die Verhältnisse umstandslos geradezurücken? Die Squadra Azzurra schüttelte sich kurz, musste noch ein paar bange Momente überstehen – und glich dann durch den Kopfball von Innenverteidiger Alessandro Bastoni, wie Dimarco vom Meister Inter Mailand, rasch aus (11.).

Damit nicht genug, legte Italien durch den Distanzschuss des nach muskulären Problemen rechtzeitig fit gewordenen Mittelfeldstars Nicolo Barella, auch er eine Stütze von Inter, nach (16.). Die erste Viertelstunde dieses Duells der Gruppe B zwischen dem vermeintlich großen Italien und dem frechen Außenseiter Albanien, immerhin Erster der EM-Qualifikationsgruppe E vor Tschechien und Polen, hatte es in sich und passte damit genau in den stimmungsvollen Rahmen dieses Spiels im größten deutschen Stadion, in dem die Albaner auf den Rängen mit mehr als 30.000 Fans anfangs frenetisch den Ton angaben.

Mais sur le terrain, les champions en titre ont également impressionné par leurs qualités de retour et leur puissance offensive après le tir effrayant de la première minute. Un grand footballeur européen ne peut pas être intimidé aussi rapidement.

Si le milieu de terrain Davide Frattesi, également champion national de l’Inter, avait un peu mieux placé son lob, cela aurait été 3-1 (33′) et il n’y aurait eu aucun coup sur le poteau, ce qui s’est également reflété dans l’arrêt de Le gardien Thomas Strakosha, numéro un de la Lazio depuis des années, l’a remercié. Le match entre les Européens du Sud, positivement excités, et les outsiders effrontés du Sud-Est de l’Europe est resté divertissant et passionnant jusqu’à la pause. Un thriller pour les fans enthousiastes d’ici et d’ailleurs.

Les Italiens adorent quand, comme aujourd’hui, ils ne sont pas considérés comme les favoris pour le titre lors d’un Championnat du Monde ou d’Europe. En 2006, après des mois d’abus et de honte provoqués par un scandale majeur de manipulation dans le calcio de Serie A, presque personne n’avait la Squadra Azzurra à l’affiche de la Coupe du Monde lors du tournoi en Allemagne.

Et voilà : l’Italie a remporté la Coupe du monde grâce à un rempart de football, ce que l’équipe nationale allemande a échoué lors des tirs au but finaux en demi-finale de Dortmund et l’équipe de France encore mieux notée autour de Zinedine Zidane lors de la finale de Berlin. En 2021, les cool Italiens ont de nouveau surpris lors de la finale du Championnat d’Europe paneuropéen et, après des victoires presque toujours serrées, ont également battu les favoris anglais lors de la finale de Wembley grâce à leur exercice favori : les tirs au but.

Mais samedi soir à Dortmund, le quadruple champion du monde et double champion d’Europe, qui une fois de plus ne faisait pas partie des grands favoris en raison de ses récentes performances sobres, ne se préoccupait au départ que d’un bon départ, qui semblait plus passionné que prévu sous la pression des conditions face aux outsiders albanais.

L’Albanie n’est plus l’un des petits acteurs du football européen, comme en témoigne le tableau final du groupe de qualification E, dans lequel l’équipe de l’entraîneur brésilien Sylvinho est arrivée – devant les puissances moyennes établies du football que sont la République tchèque et la Pologne.

L’équipe courageuse de Sylvinho ne parvenait plus à ébranler l’Italie après la pause, car les professionnels de Spalletti travaillaient plus patiemment pour ce qui aurait pu être le but décisif et les Albanais devaient parfois exploser. Au final, ce fut une victoire méritée 2-1 pour les favoris, qui durent à nouveau trembler lorsque la course solitaire de Manaj avec le dernier tir manqua de peu le but à la 90e minute.

“Nous avons vu beaucoup de bonnes choses, mais seulement certaines d’entre elles”, a déclaré le sélectionneur italien Luciano Spaletti. « Cela aurait pu mal tourner à plusieurs reprises. Parfois, nous étions un peu trop à l’aise.

Rien ne s’oppose au duel suprême lors de la deuxième journée du tour préliminaire du Championnat d’Europe entre l’Italie et l’Espagne jeudi soir (21 heures dans le téléscripteur en direct FAZ du Championnat d’Europe de football, sur ZDF et sur MagentaTV) à Gelsenkirchen, tandis que l’Albanie a sa petite chance d’atteindre les huitièmes de finale mercredi (15 heures dans le téléscripteur en direct FAZ du Championnat d’Europe de football, sur RTL et sur MagentaTV) lors du duel à Hambourg avec les favoris Croates. Avec l’esprit de Dortmund, ce n’est pas une entreprise désespérée.