10 septembre 2024 – septembre

Le noyau de Sepe São Gonçalo a demandé à la Cour de commenter les manquements répétés à se conformer aux décisions de justice du maire, le capitaine Nelson Ruas. Dans les pétitions, Sepe rappelle que la Constitution fédérale elle-même prévoit la possibilité d’une intervention de l’État dans la commune, pour assurer l’exécution d’une décision de justice.

Le conseil municipal de SG n’a pas respecté à plusieurs reprises d’importantes décisions de justice remportées par Sepe, qui sont désormais toutes devenues définitives : le paiement du plancher national d’enseignement ; paiement du minimum des employés administratifs, prévu dans le délai d’ajustement de conduite (TAC) entre Sepe et la mairie, en 2018 ; et la mise en œuvre d’un tiers des heures d’enseignement gratuites pour la planification extrascolaire, telle que régie par la loi fédérale sur l’École Nationale d’Enseignement.

Le syndicat a également demandé au ministère public de l’État d’enquêter sur d’éventuels délits de désobéissance et d’actes d’improbité administrative.

Selon Sepe, les actes répétés de désobéissance au TJ de la part du maire et de son secrétaire à l’Éducation prouvent l’énorme manque d’intérêt de la direction pour l’éducation à São Gonçalo. Ce n’est pas un hasard si ce manque d’intérêt a fait que la municipalité, la deuxième plus grande de l’État de Rio en termes de population, a reçu l’un des pires scores de l’IDEB 2023 dans la région métropolitaine, se classant 72e sur 92 municipalités de Rio de Janeiro. .

Le processus relatif au respect d’1/3 du planning du réseau communal SG porte le numéro 0018328-10.2013.8.19.0004 ;

Le processus relatif à la mise en place de l’étage national d’enseignement et de l’étage pour les salariés de SG porte le numéro 0061217-42.2014.8.19.0004.

Le journal Extra a rendu compte de la grave situation à São Gonçalo.

Facebook
Twitter
LinkedIn
Pinterest

Leave a Comment

This site uses Akismet to reduce spam. Learn how your comment data is processed.