Certains disent que les sept sièges sont faux, car la troisième rangée est exiguë, mais en pratique elle est idéale pour les enfants, voire les adultes sur de courts trajets. Le fait est que cela prend sept personnes et peu le font. Pour ceux qui n’ont pas besoin d’autant de sièges, les versions cinq places sont les championnes en termes de volume de coffre, faisant envier n’importe quel SUV.
Simplicité
Le plus simple des ateliers de mécanique pourra servir le client d’un Spin, car lorsqu’il ouvrira le capot il retrouvera le même moteur présent chez Chevrolet depuis 30 ans, la fameuse Famille 1. Bon, ce n’est pas tout à fait pareil, il y a Il y a eu de nombreuses améliorations au fil des années, des décennies, mais c’est fondamentalement le même projet.
Certains entretiens sont donc les mêmes, comme le changement de la courroie de distribution, des bougies, etc. Dans le Spin, il n’y a pas de variateurs de phase, de double calage des soupapes, de turbo ou d’injection directe. Il s’agit d’un gros moteur « riz et haricots », avec un couple de 17,7 kgfm et une puissance de 111 ch lorsqu’il est alimenté à l’alcool.
Il suffit d’accélérer de 0 à 100 km/h en 11 secondes, ce qui est idéal pour l’usage du modèle. La simplicité est un gage de durabilité, c’est pourquoi ils sont si recherchés par les chauffeurs de taxi.
Faible coût d’entretien
Alors que les modèles plus modernes et complexes effraient leurs propriétaires en matière d’entretien, le Spin est peu coûteux à entretenir. Il préserve les concepts de suspension établis, tels que les jambes McPherson à l’avant et la poutre de torsion à l’arrière, avec des composants faciles à entretenir.