Le Québec est confronté à une réalité de plus en plus préoccupante : la pauvreté chez les personnes âgées. Selon les derniers chiffres, plus de 400 000 aînés québécois vivent dans une situation de pauvreté. Cette triste réalité touche une proportion considérable de personnes âgées dans la province, ce qui met en évidence la nécessité d’agir de manière urgente pour améliorer les conditions de vie des personnes âgées les plus vulnérables. Cet article explore les causes et les conséquences de la pauvreté chez les aînés au Québec, ainsi que les solutions possibles pour y remédier.
Plus de 409 000 personnes âgées de 65 ans et plus au Québec vivent avec un revenu inférieur au « revenu viable », ce qui comprend 53% des personnes vivant seules et 18% des couples, selon une étude de l’Institut de recherche et d’informations socioéconomiques (IRIS). Le « revenu viable » est défini comme le revenu nécessaire pour mener une vie décente en fonction de la région que l’on habite, variant entre 25 000 $ et 35 000 $ pour une personne seule et environ 35 000 $ pour un couple de personnes âgées. Bien que les personnes âgées puissent compter sur la pension de la sécurité de vieillesse et le supplément de revenu garanti pour vivre, ces sources de revenus sont inférieures au revenu viable. Les chercheurs de l’IRIS recommandent un système de retraite similaire à celui du Danemark, qui, selon eux, est l’un des plus performants en matière de retraite grâce aux régimes d’employeurs quasi-obligatoires. Les auteurs appellent également à rendre obligatoire la cotisation des employeurs aux RVER, des régimes de faible qualité dans lesquels les employeurs ne sont pas tenus de cotiser.
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