Djakarta –
La Sierra Leone, pays d’Afrique de l’Ouest, est sous le feu des projecteurs. Récemment, le pays a déclaré l’état d’urgence nationale en raison des nombreux cas de toxicomanie parmi sa population.
La drogue appelée kush est également devenue un sujet de conversation brûlant. La raison en est que l’un des ingrédients de la fabrication de ce médicament est constitué d’os humains broyés. C’est pour cette raison que de nombreux jeunes de Freetown, la capitale de la Sierra Leone, sont déterminés à creuser des tombes pour retrouver des squelettes humains.
Voici les faits concernant la drogue Kush qui sévit en Sierra Leone.
1. Apparu il y a environ 6 ans
Cité de Actualités Afrique, la drogue kush est une drogue synthétique apparue pour la première fois il y a environ six ans. Même si elle existe depuis assez longtemps, les informations sur la Kush sont actuellement encore fragmentaires.
Généralement, la kush est utilisée en la roulant et en la brûlant comme des cigarettes ou de la marijuana.
2. On appelle ça une drogue « zombie »
L’abus de kush peut avoir des effets psychologiques très graves. Cité de Télégrapheil a été rapporté que les utilisateurs de kush présentent un comportement semblable à celui d’un zombie, comme se défoncer la tête baissée ou dormir debout.
De plus, les utilisateurs de kush se cognent souvent la tête contre les murs, marchent dans une circulation très fréquentée et sautent des hauteurs.
3. Fabriqué avec un mélange d’os humains
Kush est composée d’un mélange de diverses herbes et de produits chimiques dangereux. Cependant, ce qui attire le plus l’attention de nombreuses personnes est l’utilisation d’os humains comme l’un des principaux ingrédients.
Cité de BBC, le kush est fabriqué à partir d’os humains broyés ou broyés. Les os sont ensuite mélangés à de la marijuana, des herbes et des produits chimiques dangereux pour renforcer les effets de la drogue.
Suivant : La police doit garder les cimetières
(ath/haut)
2024-04-08 00:10:22
1712528359
#faits #sur #les #drogues #Kush #Sierra #Leone #qui #utilisent #mélange #dos #humains