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90 Roms échoués à Rezé, la maire et les associations tirent la sonnette d’alarme

90 Roms échoués à Rezé, la maire et les associations tirent la sonnette d’alarme

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Expulsées deux fois en vingt-quatre heures de terrains de l’agglomération de Nantes, des familles d’origine roumaine ont fini par trouver refuge, jeudi 7 juillet au soir, à la Trocardière, à Rezé. Si l’urgence humanitaire s’organise, la Ville demande un moratoire.

L’aide humanitaire s’organise. L’urgence était l’approvisionnement en eau.

L’aide humanitaire s’organise. L’urgence était l’approvisionnement en eau. | PHOTO MARC ROGER/OUEST FRANCE


  • L’aide humanitaire s’organise. L’urgence était l’approvisionnement en eau. | PHOTO MARC ROGER/OUEST FRANCE

Ils sont des victimes collatérales du développement de l’île de Nantes. Installées depuis plus de trois ans rue de la Guyane, pas loin du hangar à bananes, des Roms ont subi, jeudi 7 juillet, une première expulsion demandée par la SNCF, propriétaire des lieux. Leur présence n’était pas non plus souhaitée à la Sablière où ils s’étaient repliés. Jeudi soir, ils ont échoué à Rezé.
La trentaine de caravanes se sont installées à la Trocardière. Les associations ont réellement pris conscience de la situation de ces 90 personnes dont une vingtaine d’enfants, vendredi. L’aide humanitaire a commencé.

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