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Expulsées deux fois en vingt-quatre heures de terrains de l’agglomération de Nantes, des familles d’origine roumaine ont fini par trouver refuge, jeudi 7 juillet au soir, à la Trocardière, à Rezé. Si l’urgence humanitaire s’organise, la Ville demande un moratoire.
Ils sont des victimes collatérales du développement de l’île de Nantes. Installées depuis plus de trois ans rue de la Guyane, pas loin du hangar à bananes, des Roms ont subi, jeudi 7 juillet, une première expulsion demandée par la SNCF, propriétaire des lieux. Leur présence n’était pas non plus souhaitée à la Sablière où ils s’étaient repliés. Jeudi soir, ils ont échoué à Rezé.
La trentaine de caravanes se sont installées à la Trocardière. Les associations ont réellement pris conscience de la situation de ces 90 personnes dont une vingtaine d’enfants, vendredi. L’aide humanitaire a commencé.
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