Les écoles devraient être proactives pour empêcher la propagation du monkeypox sur le campus : expert

Les écoles devraient être proactives pour empêcher la propagation du monkeypox sur le campus : expert

Le virologue de l’Université du Manitoba, Jason Kindrachuk, affirme que les écoles devraient sensibiliser le public aux risques de monkeypox alors que les étudiants se préparent à se réunir cet automne.

Un expert exhorte les universités et les collèges canadiens à être proactifs pour empêcher la variole du singe de s’implanter sur les campus.

Le virologue de l’Université du Manitoba, Jason Kindrachuk, affirme que les écoles devraient sensibiliser le public aux risques de monkeypox alors que les étudiants se préparent à se réunir cet automne.

Kindrachuk note que, jusqu’à présent, les cas de monkeypox au Canada se sont concentrés chez les hommes qui ont déclaré avoir eu des contacts sexuels intimes avec d’autres hommes, mais le virus peut se propager à n’importe qui par contact étroit prolongé.

Il dit que les étudiants pourraient faire face à un risque élevé car la rentrée scolaire apporte des événements sociaux bondés, des logements exigus et des taux élevés d’activité sexuelle.

Kindrachuk dit que les écoles peuvent aider à assurer la sécurité des élèves et à réduire la stigmatisation entourant le virus en partageant des informations sur les signes de la maladie et les mesures qu’ils peuvent prendre pour se protéger.

Les universités de l’Ontario et du Québec, où la majorité des cas de monkeypox au Canada ont été détectés, disent qu’elles prennent des mesures pour gérer les risques de la maladie dans le cadre de leurs stratégies de santé publique.

L’Université de Toronto affirme qu’aucun cas de monkeypox n’a été signalé sur son campus, mais elle fournit aux étudiants des ressources où ils peuvent en apprendre davantage sur la maladie et sur ce qu’il faut faire en cas d’exposition.

L’Université métropolitaine de Toronto dit qu’elle élabore des protocoles pour faire face aux infections potentielles sur le campus, en particulier dans les résidences.

À Montréal, l’Université Concordia dit qu’elle cherche à réunir à nouveau un groupe qui répond aux préoccupations concernant les maladies infectieuses, y compris la variole du singe, en mettant l’accent sur le logement sur le campus.

L’Université McGill affirme que son centre de bien-être pour étudiants offre des informations et des ressources sur une gamme de problèmes de santé, y compris la variole du singe.

Le monkeypox, qui provient de la même famille de virus qui causent la variole, est endémique dans certaines parties de l’Afrique centrale et occidentale depuis des décennies et n’était pas connu pour déclencher de grandes épidémies au-delà du continent jusqu’en mai.

Le virus se propage par contact étroit, souvent peau à peau, avec les lésions, les vêtements ou les draps d’une personne infectée. Les symptômes peuvent inclure une éruption cutanée, des ganglions lymphatiques enflés et de la fièvre, et durent généralement de deux à quatre semaines.

Mercredi, des responsables fédéraux ont signalé qu’il y avait 1 206 cas confirmés de variole du singe au Canada, dont 583 en Ontario et 471 en

À Montréal, l’Université Concordia dit qu’elle cherche à réunir à nouveau un groupe qui répond aux préoccupations concernant les maladies infectieuses, y compris la variole du singe, en mettant l’accent sur le logement sur le campus.

L’Université McGill affirme que son centre de bien-être pour étudiants offre des informations et des ressources sur une gamme de problèmes de santé, y compris la variole du singe.

Le monkeypox, qui provient de la même famille de virus qui causent la variole, est endémique dans certaines parties de l’Afrique centrale et occidentale depuis des décennies et n’était pas connu pour déclencher de grandes épidémies au-delà du continent jusqu’en mai.

Le virus se propage par contact étroit, souvent peau à peau, avec les lésions, les vêtements ou les draps d’une personne infectée. Les symptômes peuvent inclure une éruption cutanée, des ganglions lymphatiques enflés et de la fièvre, et durent généralement de deux à quatre semaines.

Le mercredi 24 août, des responsables fédéraux ont signalé qu’il y avait 1 206 cas confirmés de monkeypox au Canada, dont 583 en Ontario et 471 au Québec.

Ce rapport de La Presse canadienne a été publié pour la première fois le 25 août 2022.

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