La porte s’ouvre aux travailleurs sans vaccins COVID ou sans doses complètes pour travailler en personne | Covid | Mine | changements | ÉCONOMIE

La porte s’ouvre aux travailleurs sans vaccins COVID ou sans doses complètes pour travailler en personne |  Covid |  Mine |  changements |  ÉCONOMIE

Quels changements apporte-t-il ? Katy Noriegaassocié principal de Philippi Prietocarrizosa Forgeron DU & Uria (PPU).), expliqué à La gestion que, concernant le temps d’isolement en cas de COVID positif sur le lieu de travail, celui-ci est réduit de 7 à 10 jours. Auparavant, il était fixé jusqu’à 14 jours, à compter de la date à laquelle les symptômes ont commencé.

De plus -maintenant- le Directive Minsa établit que, pour le retour du travailleur dans son centre de travail, après avoir passé la quarantaine par COVID, ce sera au moment de sa sortie par le médecin traitant, qui doit être examiné par le médecin du service de santé et de sécurité au travail .

Concernant le calendrier vaccinal, il est établi que «les employeurs doivent garantir un environnement de travail sûr, vérifier cela de préférence tous les employés sont correctement vaccinés contre le COVID-19″.

De cette manière, l’obligation d’avoir le calendrier de vaccination complet pour le retour au travail en présentiel est éliminée, car auparavant la règle modifiée indiquait que «Les employeurs doivent vérifier que tous les employés sont correctement vaccinés pour les première et deuxième doses et les doses de rappel du COVID-19. »

De plus, la directive Minsa modifiée ajoute que «Il est recommandé” dans le cas des travailleurs avec une vaccination incomplète ou en attente de vaccination -maintenant- ils doivent se présenter aux services de santé et de sécurité au travail pour compléter leur régime et reprendre le travail en présentiel, remise ou mixte selon les besoins du service .

À cet égard, l’avocat a fait remarquer que – maintenant – une recommandation est suggérée, donc qu’il n’est plus obligatoire de garder les travailleurs qui n’ont pas été vaccinés ou qui manquent une dose hors du lieu de travail.

Alors que la vaccination COVID est encore quelque chose d’idéal. Ce qu’on a voulu, c’est mettre entre les mains de l’employeur pour favoriser le développement de la vaccination, mais en supprimant les outils qui lui permettaient de maintenir les travailleurs au chômage alors qu’ils décidaient volontairement de ne pas se faire vacciner », Indien.

La vaccination complète n’est-elle plus une exigence pour le travail en face à face ? L’avocat a fait remarquer que lorsque le mot “de préférence” c’est une possibilité. C’est comme un piège. Que se passe-t-il si l’employeur veut en faire une exigence, quels sont ses outils devant les travailleurs ? Il reste dans le dilemme ».

“La lecture que nous pouvons donner est que le gouvernement a décidé -tout en poursuivant la campagne de vaccination au niveau national- de ne plus lier cette décision de se faire vacciner ou non aux interdictions d’emploi”, il ajouta.

Qu’en est-il des travailleurs qui ne veulent pas être vaccinés ? L’avocat a expliqué que -dans ces cas- du domaine de la santé et de la sécurité au travail, ils devront être suivis afin qu’ils utilisent correctement leurs outils de biosécurité -comme le masque- mais ne les empêchent pas d’entrer sur le lieu de travail.

en disant Le schéma vaccinal complet n’est plus recommandé pour le retour au travail en présentiel. Ils ne l’utilisent plus comme une exigence”. Avec ce changement, la porte est ouverte – pour les travailleurs qui manquent de dose ou qui n’en ont pas – peuvent effectuer un travail en face à face.

Vous n’avez plus les outils pour l’empêcher”. Il faut tenir compte -renvoie le spécialiste- de l’option du travail à distance, qui est toujours en vigueur jusqu’à la fin de l’année, ce qui permet à l’employeur à quel moment de l’utiliser. “Ainsi, l’employeur pourrait évaluer dans quelles conditions le personnel non vacciné peut encore continuer à travailler à distance”.

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-Personnel à risque-

Dans le cas du personnel à risque -maintenant- le dispositif Minsa établit que le retour au travail en face à face en cas de travailleurs appartenant à des groupes à risque, il faut tenir compte des éléments suivants :

  • Les informations cliniques disponibles (antécédents et/ou rapports médicaux ou données médicales) doivent être évaluées par le médecin du service de santé et de sécurité au travail ou celui qui le remplace, pour préciser l’état de santé et le risque professionnel individuel de chaque travailleur. .
  • Les travailleurs appartenant à l’un des groupes à risque définis par le médecin du travail effectuent un travail en présentiel, à distance ou mixte selon la nécessité du service.

De cette façon, il n’y a plus d’obligation de prioriser le travail à distance pour les travailleurs du groupe à risque, comme cela se faisait avant les changements.

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