– Nous sommes revenus au bon renseignement comme il se doit, déclare le chef du renseignement Nils Andreas Stensønes.
Plusieurs éléments indiquaient que le renforcement massif des forces russes près de la frontière avec l’Ukraine à l’automne 2021 ne faisait partie d’aucun exercice. La Russie, par exemple, avait réorganisé le trafic aérien. Et la façon dont les soldats russes se déplaçaient laissait entendre que c’était l’invasion du pays voisin qui préoccupait le président Vladimir Poutine. C’est du moins ainsi que le Service national de renseignement a interprété les signes, déclare le chef du renseignement Nils Andreas Stensønes.
Mais alors quelque chose de surprenant s’est produit.
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