Après le sensationnel 2-0 en Israël contre le Maccabi Haïfa, le Juventus a décidé de ne pas exonérer Massimiliano Allegri. Mot de Andréa Agnelli qui a décidé d’aller de l’avant avec le technicien de Livourne. La Juve a pris sa retraite à Continassa jusqu’au Derby du week-end contre Turin. Sera-ce suffisant ? Et quand, par le passé, la Vieille Dame a-t-elle changé de guide technique ?
Exemptions du passé
Le premier était Sandro Puppo en 1956-57 : le spectre de B presque long, à la mi-avril Théobaldo Depetrini amène la Juve à la neuvième place. Puis en ’58 à nouveau Depetrini, appelé pour soutenir (mais alors comme le premier) de Ljubisa Brocić. En octobre 63, il a sauté Paulo Amaralavec l’appel du club Eraldo Monzeglio qui sera alors disculpé pour faire place à Ercole Rabitti. Le dernier d’un ballon de football du passé était Louis Carniglia l’année du Scudetto de Cagliari, remplacé par le tandem avec Rabitti et Giampiero Boniperti.
Les trois changements du présent
Le premier est Marcello Lippi: après de belles réussites, la saison 1998/99 se passe très mal. Perturbations avec le public et les vestiaires, après le 4-2 contre Parme il démissionne. Il avait déjà été choisi Carlo Ancelotti qui accède au fauteuil au vingt et unième tour. Claudio Ranieri sauté en mai 2009 et fait place à Cyrus Ferrare qui amène la Juve à la deuxième place et à la Ligue des champions. Et il a été le dernier à sauter en janvier 2010 : la défaite décisive en Coppa Italia face à l’Inter était à sa place Alberto Zaccheroni.