les municipalités arrêteront les soins d’urgence de crise après le 1er avril

les municipalités arrêteront les soins d’urgence de crise après le 1er avril

Jilmer Postma

Nouvelles de l’ONSaujourd’hui, 21:31

Les maires ne sont plus convaincus que l’Agence centrale pour l’accueil des demandeurs d’asile (COA) pourra reprendre l’hébergement d’urgence de crise des municipalités à partir de janvier, comme promis dans l’accord sur l’asile. C’est pourquoi ils fixent maintenant un nouveau délai, selon une note entre les mains de Actualités RTL.

Quatre maires disent qu’ils arrêteront l’accueil d’urgence de crise après le 1er avril si plus de clarté n’est pas apportée sur la répartition de l’accueil des demandeurs d’asile. Le mémorandum fait partie des discussions qui se déroulent depuis un certain temps entre les régions de sécurité, le COA et le gouvernement national, a déclaré un porte-parole d’Hubert Bruls, maire de Nimègue et également président du Conseil de sécurité.

“Er moet nu wel iets gaan gebeuren voor gemeenten, want die vangen de asielproblemen al heel lang op. 1 januari lijkt nu niet meer realistisch om de opvang over te dragen aan het COA en de wet die op 1 oktober was beloofd, is er ook pas encore.”

Le 1er janvier a été mentionné dans l’accord sur l’asile

Fin août, le cabinet a conclu un accord avec les municipalités, les provinces et les régions de sécurité sur l’accueil des demandeurs d’asile. Elle indiquait le 1er janvier 2023 comme date à laquelle les municipalités pourraient cesser d’offrir des abris d’urgence de crise – accueil temporaire et très frugal des demandeurs d’asile dans, par exemple, des gymnases et des salles de sport.

A partir de cette date, le COA reprendrait l’intégralité de l’accueil des demandeurs d’asile. Mais selon les dernières estimations, ce n’est pas réaliste ; en janvier, le COA manque encore d’environ 10 000 places, selon un rapport d’hier prévisions divulguées.

Les régions de sécurité freinent

Dans le mémorandum, que les maires Dijksma (Utrecht), Dijsselbloem (Eindhoven), Bruls (Nimègue) et Van den Top (Hilversum) ont rédigé au nom du Conseil de sécurité, il est proposé de maintenir le 1er avril comme date limite pour fournir des abris d’urgence en cas de crise .

Les bourgmestres veulent d’abord plus de clarté sur deux conditions qu’ils y avaient attachées : d’une part, la nouvelle loi sur l’accueil des demandeurs d’asile que le secrétaire d’État Van der Burg (Justice et Sécurité) avait promise en projet il y a trois semaines et, d’autre part d’autre part, le plan de transition de l’ACO. Le gouvernement national ne remplissant pas actuellement les deux conditions, les régions de sécurité freinent donc.

se hâter

Van der Burg a annoncé la semaine dernière que le projet de loi visant à répartir plus équitablement l’accueil des demandeurs d’asile aux Pays-Bas entre les municipalités ne sera annoncé que la semaine prochaine. C’est trois semaines plus tard que Van der Burg avait promis dans l’accord d’asile. Selon des initiés, le retard a été causé par la résistance au sein du propre VVD de Van der Burg. Le parti ne veut pas que les communes soient obligées d’accueillir des demandeurs d’asile au prorata de leur population.

En tant que président du Conseil de sécurité, Bruls demande au secrétaire d’État de se dépêcher, dit-il de Volkskrant . “Si cette loi n’est pas adoptée, nous aurons un sérieux problème”, déclare-t-il dans le journal. “Je m’adresse également à la Chambre des représentants avec ce message. Peu m’importe comment nous appelons cette loi, la loi de distribution ou de coercition. L’effet doit être le même : que tout le monde contribue à l’accueil de l’asile.”

Demain, les régions de sécurité et le COA discuteront plus en détail de l’accueil des demandeurs d’asile.

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