Orion va quitter la sphère d’influence lunaire

Orion va quitter la sphère d’influence lunaire

Pendant Artemis I, le vaisseau spatial Orion sans équipage se lancera sur la fusée la plus puissante du monde et parcourra des milliers de kilomètres au-delà de la Lune, plus loin que n’importe quel vaisseau spatial construit pour les humains n’a jamais volé. Crédit : NASA

Artemis I – Septième jour de vol : Orion teste le mode d’acquisition et de suivi de la recherche, quitte la sphère d’influence lunaire

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Nasa
Créée en 1958, la National Aeronautics and Space Administration (NASA) est une agence indépendante du gouvernement fédéral des États-Unis qui a succédé au National Advisory Committee for Aeronautics (NACA). Il est responsable du programme spatial civil, ainsi que de la recherche aéronautique et aérospatiale. Sa vision est "Découvrir et élargir les connaissances au profit de l’humanité." Ses valeurs fondamentales sont "sécurité, intégrité, travail d’équipe, excellence et inclusion."

” data-gt-translate-attributes=”[{” attribute=””>NASA’s Orion spacecraft is now on its seventh day into the Artemis I mission, a flight test around the Moon, paving the way for astronauts to fly on future missions. On November 22, at 12:02 a.m. CST, Orion completed the fifth outbound trajectory correction by firing the European service module’s auxiliary engines for 5.9 seconds. This changed Orion’s velocity by 3.2 feet per second (2.2 mph or 3.5 km/h).

The R-4D-11 auxiliary engines are a variant of the flight-proven R-4D engine, which was originally developed for the Apollo program and was employed on every mission to the Moon. The engines are positioned at the bottom of the service module in four sets of two, and each provides about 100 pounds of thrust. In total, Orion’s highly capable service module has 33 engines of various sizes and serves as the powerhouse for the spacecraft. As such it provides the propulsion capabilities on its exploration missions which enable Orion to go around the Moon and back to Earth.

In the White Flight Control Room at NASA’s Johnson Space Center in Houston, the team continued testing the spacecraft’s star trackers to determine their sensitivity to thermal variations as part of planned testing. Engineers also used the optical navigation system to gather additional imagery of the Moon. The star trackers and optical navigation system are part of Orion’s advanced guidance, navigation, and control system, responsible for always knowing where the spacecraft is located in space, which way it’s pointed, and where it’s going. It even controls the propulsion system to keep the spacecraft on the correct path. The optical navigation can serve later in this mission and in future missions as a backup, ensuring a safe trip home should the spacecraft lose communications.


La Terre se lève derrière la Lune dans cette vidéo capturée par une caméra sur l’une des ailes du panneau solaire d’Orion. La vidéo a été prise à 8 h 05 HNE le sixième jour de vol de la mission Artemis I de 25,5 jours, peu de temps après le survol motorisé sortant et six minutes après que le vaisseau spatial a retrouvé la connexion avec le Deep Space Network de la NASA. Crédit : NASA

Pendant la nuit, les contrôleurs de vol effectueront le développement du mode de recherche, d’acquisition et de suivi (SAT) objectif du test. Le mode SAT est un algorithme destiné à récupérer et à maintenir les communications avec la Terre après la perte de l’état de navigation d’Orion, une perte prolongée des communications avec la Terre ou après une perte de puissance temporaire qui oblige Orion à redémarrer le matériel. Pour tester l’algorithme, les contrôleurs de vol ordonneront au vaisseau spatial d’entrer en mode SAT et, après environ 15 minutes, de rétablir les communications normales. Le test du mode SAT donnera aux ingénieurs l’assurance qu’il peut être considéré comme l’option finale pour résoudre une perte de communication lorsque l’équipage est à bord.

Orion sortira de la sphère d’influence lunaire, ou de l’attraction gravitationnelle de la Lune, à 22h31 CST et continuera de voyager vers orbite rétrograde lointaine. Le prochain événement en direct sera la couverture télévisée de la NASA de la brûlure d’insertion en orbite rétrograde lointaine, prévue pour 16 h 30 HNE (13 h 30 PST) le vendredi 25 novembre. Peu de temps avant d’entrer en orbite, Orion parcourra environ 57 287 milles ( 92 194 km) au-delà de la Lune à son point le plus éloigné de la surface lunaire pendant la mission. Consultez la carte de la mission Artemis I (voir l’image ci-dessous) pour voir le chemin d’Orion dans l’espace.

Artémis I Carte

Artemis I sera le premier test en vol intégré du système d’exploration de l’espace lointain de la NASA : le vaisseau spatial Orion, la fusée Space Launch System (SLS) et les systèmes au sol du Kennedy Space Center à Cap Canaveral, en Floride. Première d’une série de missions de plus en plus complexes, Artemis I sera un vol sans équipage qui fournira une base pour l’exploration humaine de l’espace lointain et démontrera notre engagement et notre capacité à étendre l’existence humaine jusqu’à la Lune et au-delà. Au cours de ce vol, le vaisseau spatial Orion sans équipage se lancera sur la fusée la plus puissante du monde et parcourra des milliers de kilomètres au-delà de la Lune, plus loin que n’importe quel vaisseau spatial construit pour les humains n’a jamais volé, au cours d’une mission d’environ trois semaines. Crédit : NASA

Le samedi 26 novembre, Orion passera le record établi par Apollo 13 pour la distance la plus éloignée parcourue par un vaisseau spatial conçu pour les humains à 248 655 miles (400 171 km) de la Terre, et le vaisseau spatial atteindra sa distance maximale de la Terre de 268 552 miles ( 432 193 km) le lundi 28 novembre.

Juste après 16 heures CST le 22 novembre, Orion parcourait plus de 208 000 miles (335 000 km) de la Terre et se trouvait à plus de 36 000 miles (58 000 km) de la Lune, naviguant à plus de 3 000 miles par heure (4 800 km par heure).

Écoutez une rediffusion de Espaces Twitter La NASA a accueilli le mardi 22 novembre le directeur de vol de la NASA Gerry Griffin, Jim Geffre d’Orion, Nijoud Merancy du programme Artemis et Jennifer Ross-Nazzal du bureau d’histoire de la NASA pour discuter de cette étape.

En savoir plus sur les systèmes d’Orion qui ont été conçu pour les missions dans l’espace lointain avec des astronautes.

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