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Diffusion Flevoland
Nouvelles de l’ONS•aujourd’hui, 08:56
Selon les recherches du Kenniscentrum Akkervogels, la province de Flevoland ne parvient pas à attirer davantage d’oiseaux des terres agricoles et des prairies. Chez la plupart des espèces, le déclin qui avait commencé plus tôt se poursuit.
Ce n’est que dans la zone des dunes fluviales près de Swifterbant que des résultats prudemment positifs sont obtenus avec l’huîtrier pie, le vanneau et le pipit des prés, mais selon les chercheurs, il s’agit d’un progrès subtil. On ne sait pas pourquoi cela ne fonctionnera pas.
Depuis 2016, 700 000 euros sont alloués chaque année pour attirer les oiseaux, écrit Diffusion Flevoland. La majeure partie de l’argent vient de Bruxelles, mais la province contribue également.
Collectif Agricole
Le centre de connaissances a mené des recherches à la demande de la province de Flevoland. Avec le Flevolands Agrarisch Collectief, il est responsable de la gestion de la nature agricole.
Dans le Flevoland, cette gestion de la nature vise le busard Saint-Martin, l’Alouette des champs, le Pipit des prés et la Bergeronnette printanière. Des mesures sont également prises pour attirer davantage d’oiseaux des prés tels que les barges à queue noire, les vanneaux et les huîtriers dans la province.
Cela se fait dans six zones, réparties sur Flevoland. Les agriculteurs de ces régions étendent, entre autres, des bandes d’herbes. De plus, ils ne marquent les nids ou ne tondent que plus tard dans la saison.
Encore plus d’argent
L’année prochaine, le budget de la gestion de la nature agricole sera porté à 1,4 million d’euros par an. La province, le Flevolands Agrarisch Collectief et le Akkervogels Knowledge Center sont satisfaits de l’argent supplémentaire, mais ils pensent qu’il est important de revoir la politique existante. Ils veulent étudier s’il existe d’autres méthodes plus efficaces pour attirer les oiseaux dans le Flevoland.