Des avantages qui tombent du ciel

Des avantages qui tombent du ciel

oui il y a eu bénéfices tombés du ciel Dans électrique. Lors de la présentation des résultats obtenus en 2022, les dirigeants n’ont cessé de le démentir, mais quand est venu le tour de Endesason PDG, José Bogas, l’a reconnu sans ambages : son entreprise a obtenu 500 millions d’euros de “bénéfices extraordinaires” l’an dernier. De plus, il a admis que si ce n’était le plafonnement des “prestations célestes” imposé par le gouvernement – en limitant la rémunération des nucléaire et hydroélectrique– 6 000 millions supplémentaires auraient plu sur la seule Endesa en raison des effets pervers (pour les consommateurs) de la réglementation de l’électricité, exacerbés par une prix du gaz qui a atteint les nuages ​​sous l’effet de la guerre en ukraine.

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Le gouvernement a décidé d’imposer deux taxes temporaires aux grandes banques et aux entreprises énergétiques, pour taxer les avantages extraordinaires obtenus par les deux secteurs au moment même où les familles et les autres secteurs productifs subissent les rigueurs de la inflation et la hausse soudaine des prix taux d’intérêt. Jusqu’à présent, tous les managers de ces deux secteurs ont nié l’existence de bénéfices exceptionnels : si la grande banque réussi à gagner 20,850 millions en 2022, 28% de plus qu’en 2021 (après actualisation des impacts extraordinaires de cette période) était dû au processus de “normalisation” des taux d’intérêt et si les quatre principaux groupes énergétiques ils ont gagné un total de 12,780 millions en 2022, soit 41% de plus qu’en 2021, ce n’est pas dû à des bénéfices tombés du ciel, mais à des circonstances de marché.

Mais Bogas a reconnu des avantages “extraordinaires” dans le secteur. Il l’a fait pour faire valoir que ces bénéfices, et non les revenus, sont ce que le gouvernement aurait dû imposer s’il voulait être cohérent avec sa propre rhétorique : “Je suis d’accord qu’ils m’imposent pour les bénéfices extraordinaires de ces 500 millions de dollars. “euros”. Et en argumentant comme ça, soit dit en passant, il l’a bien fait comprendre : oui il y a eu des bénéfices tombés du ciel.

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