City trip à Rome : Petite boucle d’oreille sur un grand voyage – Panorama

City trip à Rome : Petite boucle d’oreille sur un grand voyage – Panorama

Au milieu de… Rome

Un trajet en bus à arrêts multiples à travers Rome : inoubliable ! De retour à l’hôtel, regardez-vous dans le miroir. Oh là là, il manque une boucle d’oreille, un cadeau précieux à tous égards. J’ai donc écrit un e-mail à IOBus, peut-être qu’il y aura une réponse dans quelques jours, peut-être que le bijou sera envoyé en Allemagne, s’il est retrouvé. Sept minutes plus tard, la réponse : ils s’en occuperont. 20 minutes plus tard : une photo de la trouvaille, sécurisée dans le bus 201. Maintenant que la boucle d’oreille traverse Rome, vous pouvez la suivre en direct avec l’application bus. Il passe Roma Termini, laisse le Colisée sur la droite, passe devant le Circus Maximus. L’assistante de bus Sara est déjà “informée” que le propriétaire attend sur la Piazza Venezia. Le bus siffle dans la montagne, Sara agite sa boucle d’oreille sur le pare-brise, le chauffeur du bus rit et fait signe. Rome : incroyable ! Susi Wimmer

(Illustration : Marc Hérold)

Pas dans … Serengeti

Il n’y a pas de clôtures autour du camp dans le Serengeti, comme dans tous les parcs nationaux de Tanzanie, afin que les animaux puissent se déplacer librement. La nuit, vous pouvez entendre le pâturage des buffles et le rugissement des lions. Il ne faut pas laisser la tente seule dans le noir, dit le jeune Maasai qui travaille dans le camp, mais l’appeler. Que fait-il quand un lion l’attaque, nous demandons-nous au feu de camp. Cela n’arrivera pas, dit-il, “parce que je ferai attention”. Un dîner de brousse est prévu pour le lendemain soir.Il y a une table avec des chaises et une lampe à pétrole entre les arbres non loin du camp. Après le curry de riz, il commence à faire nuit, quand arrive le dessert, on entend déjà grogner les lions. Le Massaï et le serveur s’agitent, braquent leur lampe de poche entre les arbres au loin et regardent nos assiettes. OK, j’ai compris, nous avons terminé. Véronique Wulf

(Illustration : Marc Hérold)

Moufle à … Francfort

Il était difficile de dire ce que l’homme baissier a dit. LAALÖÖMEEWÖÖLAA, à moitié chanté, à moitié babillé, c’est comme ça que ça s’est passé tout le temps. Il était facile de dire ce qu’il faisait : il voulait dégonfler un vélo qui était garé près d’un lampadaire. Un petit homme se précipita. « Arrêtez ça ! » cria-t-il. C’était son vélo. Je pris courage et me dressai devant l’ours : « Dois-je appeler la police ? Il se tourna vers le vélo le plus proche et tira sur sa sonnette. « Bas les pattes ! » ai-je dit. LAALÖÖMEEFINGERWÖÖLAA … L’ours s’éloigna. J’ai jeté un regard fraternel au petit homme, j’ai levé les yeux – l’ours touchait déjà un pneu une lanterne vers le bas. “Depuis le vélo aussi, s’il vous plaît!” J’ai crié, l’ours s’est penché au coin de la rue. J’ai peur qu’il ait laissé une traînée de crevaisons derrière lui. Il avait probablement besoin d’un exutoire. Marc Schuermann

Vous pouvez trouver plus d’épisodes de la colonne “Au milieu de …” ici.

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