La petite voix entêtante, qui lui susurre depuis des années de préparer ses arrières, s’est enfin tue. À moins de 500 jours des Jeux olympiques de Paris, Saifedine Alekma n’a qu’un objectif : se préparer « en toute sérénité ». Depuis son « déclic sportif » — comme il dit — en 2021 (il devient alors vice-champion d’Europe de lutte), les fins de mois sont plus faciles qu’avant. En contrat avec l’armée jusqu’aux JO — payé au smic et 100 % détaché —, il a tourné le dos aux petits gagne-pain et au chômage. Mieux, il sait déjà qu’une autre carrière professionnelle l’attend, après l’échéance sportive de 2024, loin des tapis de lutte.
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