03 apr 2023 om 21:40Update: 3 minuten geleden
Schiphol veut supprimer tous les vols entre minuit et 5 heures du matin. Entre 5 heures et 6 heures du matin, les avions ne sont autorisés qu’à atterrir. Ce n’est qu’alors qu’il pourra être retiré à nouveau. La seule exception à cela est lorsque la sécurité est en jeu, dit Sondag.
Sondag souligne que ces mesures doivent être prises car trop peu a été fait contre la pollution sonore au cours des quinze dernières années. “Nous voyons les problèmes avec les vols de nuit augmenter d’année en année. Si les risques augmentent, alors vous devez faire quelque chose à ce sujet. Maintenant, nous y travaillons rapidement.”
Actuellement, 10 000 vols par an ont lieu pendant les heures de nuit. Environ 55 % de ces opérations sont réalisées par Transavia. Sondag souligne qu’une concertation avec les compagnies aériennes est nécessaire, car la mesure “a effectivement un impact”.
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Des mesures prenant effet au plus tard en 2025
La réduction des vols de nuit fait partie d’une série de mesures contre les nuisances sonores qui entreront en vigueur cette année et s’appliqueront au plus tard en 2025. “Mais en ce qui me concerne, un an plus tôt”, ajoute Sondag.
Selon La libération conditionnelle une fermeture nocturne concerne principalement les ‘voyageurs vacances’. Ils souhaitent généralement que leur vol arrive le plus tard possible le soir et parte le plus tôt possible le matin.
De plus, selon le journal, la fermeture nocturne concerne principalement les vols de transfert. Par exemple, de nombreux vols en provenance d’Amérique du Nord arrivent à Schiphol tôt le matin, afin que les passagers puissent être transférés sur leur prochain vol. Dimanche dit contre La libération conditionnelle que les conséquences pour ce réseau de transfert sont limitées.
Suivez plus d’étapes
Les mesures que Sondag annonce aujourd’hui portent principalement sur le bruit. Mais interdire les avions bruyants a aussi des effets positifs sur l’environnement, car ces avions sont souvent plus polluants.
D’autres étapes suivront. “A terme, nous ferons des propositions concrètes dans le domaine des émissions en cohérence avec l’accord de Paris (Accord de Paris sur le climat de 2015, ndlr). Nous les intégrerons ensuite dans nos conditions d’exploitation, comme aujourd’hui avec le bruit, donc que chacun doit s’y conformer.
Mercredi, le juge décidera en référé de l’industrie aéronautique si le cabinet peut poursuivre les plans de réduction de Schiphol. Mais Sondag nie que cela ait affecté ses plans. “Je pense qu’il faut prendre des mesures. Il ne faut pas continuer à polder, instituer des référés ou crier : croissance, croissance, croissance, comme le saint graal. Cela alimente toute la négativité dans le débat aéronautique.”