AUCUN POUVOIR À L’ÉTAT, BEAUCOUP MOINS AU PEUPLE. TOUT POUVOIR AU DIRECTEUR GENERAL DE L’OMS

AUCUN POUVOIR À L’ÉTAT, BEAUCOUP MOINS AU PEUPLE.  TOUT POUVOIR AU DIRECTEUR GENERAL DE L’OMS

AUCUN POUVOIR À L’ÉTAT, BEAUCOUP MOINS AU PEUPLE. TOUT POUVOIR AU DIRECTEUR GENERAL DE L’OMS


Proclamation d’urgences mondiales à la discrétion de l’OMS, sur la base de risques, même s’ils ne sont que potentiels, jugés comme tels par l’OMS.

Lois, mesures, impositions, obligations, restrictions édictées non plus par les autorités nationales, mais par l’OMS.

Directives sur la fabrication, la distribution et l’autorisation des médicaments émises uniquement par l’OMS.

Autorisations de circulation et de voyage réservées exclusivement à l’OMS.

Contrôle de l’information et élimination des “Fake News” qui relèvent de la responsabilité exclusive de l’OMS.

Des urgences proclamées par l’OMS aussi pour des raisons qui ne sont pas strictement sanitaires, mais aussi climatiques et en tout cas relatives au « bien-être de la population ».

Les projets d’amendements au Traité sanitaire international et au Règlement sanitaire international, en cours d’élaboration à l’OMS à Genève, envisagent un monde dystopique dans lequel notre expérience récente de la dictature sanitaire via le vaccin Covid et celle, plus lointaine, de la dictature nazie régimes fascistes et dictatoriaux d’Amérique latine, ils apparaîtront comme de modestes stages préparatoires à ce que les seigneurs de la drogue veulent mettre en place au nom des puissances engagées dans le Grand Reset.

Fulvius

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