jour de tristesse et d’espoir

jour de tristesse et d’espoir

En ce Vendredi saint, alors que nous méditons sur le mystère de la Croix, rappelons-nous les paroles de sainte Thérèse d’Avila : « Que rien ne te trouble, que rien ne t’effraie. Tout est impermanent, Dieu ne change jamais. La patience atteint toutes choses. Celui qui a Dieu ne manque de rien ; Dieu seul suffit.«

Le Vendredi Saint est un jour solennel dans le calendrier liturgique des Églises catholique et protestante, un jour où l’on se souvient de la passion et de la mort de Jésus-Christ. C’est un jour de deuil, de repentir et de réflexion sur le grand sacrifice que Jésus a fait pour notre salut.

Le Vendredi Saint, nous commémorons les souffrances endurées par Jésus, de la flagellation brutale et du couronnement d’épines, au port de croix, à sa mort atroce sur la croix. Nous nous souvenons des mots qu’il a prononcés de la croix ci-dessous »Père pardonne-leur car ils ne savent pas ce qu’ils font« (Luc 23:34) et »C’est fini (Jean 19,30).

Par sa passion et sa mort, Jésus nous montre la profondeur de l’amour de Dieu pour nous, un amour prêt à tout sacrifice pour nous ramener à lui. Saint Jean Chrysostome a dit : »La croix est la porte des mystères«. En nous engageant dans le mystère de la croix, nous pouvons rencontrer le cœur de Dieu lui-même et expérimenter la puissance transformatrice de son amour.

Alors que nous méditons sur les souffrances du Christ le Vendredi saint, nous sommes invités à unir nos propres souffrances aux siennes et à les offrir en union avec son sacrifice. Comme l’a dit un jour Saint Padre Pio : »Jésus-Christ a souffert plus qu’aucun d’entre nous ne pourrait jamais le faire, et il l’a fait par amour pour nous. Si seulement nous pouvions nous rappeler que lorsque nous souffrons, nous ne sommes pas seuls, mais que le Christ souffre avec nous.«

C’est aussi un jour de jeûne et d’abstinence, un jour où nous sommes appelés à entrer dans un esprit de repentance et à tourner nos cœurs vers Dieu. Comme disait saint Augustin : »Jeûnez afin que vous puissiez manger la nourriture des anges.«

En fin de compte, le Vendredi Saint est un jour d’espoir, un jour pour se rappeler que la mort n’a pas le dernier mot. Par sa résurrection le dimanche de Pâques, Jésus nous montre que la puissance du péché et de la mort a été vaincue et que nous sommes rachetés par son amour.

En ce Vendredi saint, alors que nous contemplons le mystère de la Croix, rappelons-nous les paroles de sainte Thérèse d’Avila : »Ne laissez rien vous inquiéter, ne laissez rien vous effrayer. Tout est impermanent, Dieu ne change jamais. La patience atteint toutes choses. Celui qui a Dieu ne manque de rien ; Dieu seul suffit.«

Facebook
Twitter
LinkedIn
Pinterest

Leave a Comment

This site uses Akismet to reduce spam. Learn how your comment data is processed.