La réinterprétation par Döpfner du mot “désolé” – bilan de santé

2023-04-16 10:19:44

Après que Mme Horn ait suggéré des “excuses” de son patron pour sauver l’honneur de son patron Mathias Döpfner et des “excellents journalistes de BILD”, il l’a maintenant à BILD livré sous le titre “True”.. Ou plutôt, ce qu’il veut dire par là :

“Je ne sais pas pour vous, je n’arrive pas toujours à utiliser le bon ton de voix lorsque j’écris des messages privés.

Quand je suis en colère ou très heureux, mon téléphone devient un paratonnerre. J’envoie alors parfois des mots qui sont dits ou tapés « à tort » à des personnes en qui j’ai une grande confiance. Parce que je suppose que le destinataire sait de quoi il s’agit. Et parce que je ne peux ou ne veux pas imaginer que quelqu’un transmette ces mots à quelqu’un d’autre.

Mais c’est maintenant chose faite. Il y a de nombreuses leçons à en tirer. J’ai fait ça. L’une d’entre elles reste l’idée de ‘liberté de pensée’.”

Mathias Döpfner, l’un d’entre nous qui parfois n’écrit pas “dans le bon ton”. Ce sera certainement le cas de temps en temps, mais cela n’entre pas dans le vif du sujet, et bien sûr cela ne devrait pas non plus y arriver. Döpfner ne voit aucune raison de réfléchir à ses attitudes, il veut juste changer son comportement de communication. Je ne savais même pas que “désolé” signifiait quelque chose comme ça. Il semble que Mathias Döpfner veut dire quelque chose comme “l’auto-acquittement”. Il aurait pu placer le court texte sous le titre « Untel ».

Ainsi, à l’avenir, il veut être plus prudent avec ses nouvelles, pas avec ses jugements impurs. À cet égard, il est peu probable que d’ici quelques années un message texte apparaisse de lui à Mme Horn, dans lequel il lui demande de suggérer des “excuses” de sa part dans BILD et de préparer un texte correspondant. Mais ce serait sans doute aussi superflu, les deux se comprennent à l’aveuglette, une relation de confiance, comme autrefois avec Julian, désormais en colère.

“Cela a toujours fait partie du modèle commercial de l’empire médiatique Springer de violer la dignité humaine”, a écrit Süddeutsche hier à la page trois. Comment les choses devraient-elles changer si l’état d’esprit de la presse Springer reste exempt de scrupules moraux ? Après tout, on ne s’attendrait pas à une contemplation intérieure de Trump, si de lui encore Discours d’hommes dans les vestiaires devient publique. Et qui croirait que la “bonne note” n’était qu’exceptionnellement non atteinte ?



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