Les inhibiteurs de Janus kinase : restrictions d’utilisation pour diminuer le risque d’effets indésirables graves.

Les inhibiteurs de Janus kinase : restrictions d’utilisation pour diminuer le risque d’effets indésirables graves.

L’Agence du médicament a publié plusieurs restrictions d’utilisation concernant les inhibiteurs de Janus kinase ou JAKi pour diminuer le risque d’effets indésirables graves. Ils sont indiqués dans le traitement de maladies inflammatoires comme la polyarthrite. Les inhibiteurs de JAKi sont susceptibles d’entraîner des effets indésirables graves tels que des troubles cardiovasculaires, des caillots sanguins, des infections graves, des cancers, voire de décès et ne doivent plus être prescrits notamment chez les patients de plus de 65 ans. Avant de débuter un traitement par JAKi, les médecins prescripteurs doivent informer les patients de tous les risques qui leur sont associés.
Cette réévaluation s’applique à l’ensemble des JAKi tels que Cibinqo® (abrocitinib), Jyseleca® (filgotinib), Olumiant® (baricitinib), Rinvoq® (upadacitinib) et Xeljanz® (tofacitinib) indiqués dans les maladies inflammatoires chroniques.
Les JAKi ne doivent plus être utilisés, sauf s’il n’existe pas d’alternative thérapeutique chez les patients âgés de plus de 65 ans, fumeurs ou ayant fumé longtemps, et ayant d’autres facteurs de risque cardiovasculaire ou de tumeur maligne.
Les risques associés à ces médicaments comprennent un risque cardiovasculaire accru, un risque de caillot sanguin, un risque de cancer, notamment de cancer cutané, un risque de thromboembolie veineuse, un risque d’infections tombes et un risque de décès. Les notices et les résumés des caractéristiques du produit des JAKi sont progressivement mis à jour avec les nouvelles recommandations et les mises en garde associées.
#Les #JAKi #des #antiinflammatoires #qui #doivent #être #prescrits #après #65ans
publish_date]

Facebook
Twitter
LinkedIn
Pinterest

Leave a Comment

This site uses Akismet to reduce spam. Learn how your comment data is processed.