Des chercheurs créent des embryons artificiels de singes et découvrent de nouvelles maladies génétiques rares.

Des chercheurs créent des embryons artificiels de singes et découvrent de nouvelles maladies génétiques rares.

Des chercheurs ont conçu des embryons artificiels de singes en laboratoire, réalisant ainsi une première mondiale. Ils ont créé des structures qui ressemblent beaucoup à des embryons de singes, qu’ils ont ensuite implantées dans des mères porteuses, provoquant une réponse hormonale normale, similaire à celle d’une grossesse. Cette avancée scientifique permet de mieux comprendre les premières étapes de la formation des embryons et des organes humains, ainsi que les fausses-couches. De plus, des analyses génétiques approfondies ont permis de diagnostiquer plus de 5 000 des 13 000 familles touchées par des maladies génétiques rares, découvrant au passage soixante nouvelles maladies. En outre, une étude a mis en évidence l’importance de la perception visuelle humaine liée aux habiletés individuelles, démontrant que les spectateurs ne peuvent être mystifiés que s’ils possèdent une anatomie manuelle similaire à celle d’un magicien. Enfin, l’étude de l’hibernation des ours bruns a permis de comprendre pourquoi ils ne développent pas de caillots sanguins même lorsqu’ils restent immobiles pendant des mois, ce qui est pertinent pour la recherche médicale.
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