Direction Longwy, tout près de Messancy. Une zone où les consommateurs belges ont l’habitude de faire quelques kilomètres pour traverser la frontière et remplir leur caddie chez Auchan, Lidl, Intermarché ou Leclerc. La zone est en effet très commerciale et très concurrentielle, ce qui booste une guerre des prix qui ne peut être profitable qu’aux clients.
Dans ces enseignes, toutes ont suivi l’appel du gouvernement à lancer un panier anti-inflation, depuis le 15 mars dernier. Toutes sauf Leclerc qui, après y avoir bien réfléchi, a estimé que ses prix étaient déjà très bas et qu’il n’avait pas besoin de suivre le mouvement.
« Mars rouge »
En fait, derrière ce concept de panier anti-crise, il y a la volonté pour l’État français de soutenir le pouvoir d’achat des consommateurs face à une inflation galopante. Et face aux à des hausses de prix, consécutives aux négociations entre les producteurs, les fabricants et les grandes chaînes de supermarchés.
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Direction Longwy, tout près de Messancy. Une zone où les consommateurs belges ont l’habitude de faire quelques kilomètres pour traverser la frontière et remplir leur caddie chez Auchan, Lidl, Intermarché ou Leclerc. La zone est en effet très commerciale et très concurrentielle, ce qui booste une guerre des prix qui ne peut être profitable qu’aux clients.
Dans ces enseignes, toutes ont suivi l’appel du gouvernement à lancer un panier anti-inflation, depuis le 15 mars dernier. Toutes sauf Leclerc qui, après y avoir bien réfléchi, a estimé que ses prix étaient déjà très bas et qu’il n’avait pas besoin de suivre le mouvement.