La gauche “insatiable” et l’habituel disque rayé sur le fascisme et Meloni

La gauche “insatiable” et l’habituel disque rayé sur le fascisme et Meloni

2023-04-25 14:29:19

Et c’est reparti. C’est l’habituel 25 avril jamais. Avec les controverses habituelles et les habituelles revendications idéologiques élevé de la gauche. De ceux-là, malheureusement, l’Italie ne peut jamais se libérer. Encore moins aujourd’hui, avec un gouvernement de centre-droit à la tête du pays et avec les spéculations conséquentes de la zone progressiste sur une date qui devrait plutôt unir tout le monde. Parce que les militants antifascistes ne suffisent jamais. Appels au “trouvé concorde nationale» du Premier ministre Meloni et même les propos sans équivoque de ce dernier sur l’incompatibilité de la droite parlementaire actuelle avec toute nostalgie du fascisme ne suffisent pas.

Le 25 avril habituel

Le fruit fondamental du 25 avril a été, et reste sans aucun doute, l’affirmation de la valeurs démocratiquesque le fascisme avait foulé aux pieds et que l’on retrouve gravé dans la constitution républicaine“, a écrit le Premier ministre dans une lettre à Courrier à l’occasion de l’anniversaire d’aujourd’hui. Dans un pays normal, l’opposition aurait fait sienne ces considérations largement partagées. Dans un pays normal, en effet. Dans l’Italie des escarmouches politiques à petite échelle, même ces considérations sont devenues prétexte à controverse. Attendre toujours quelque chose de plus de Giorgia Meloni; comme si l’intéressé n’avait pas à plusieurs reprises et avec force condamné le infamie antidémocratique du passé. C’est l’habituel 25 avril de tous les temps, précisément : celui où la gauche se présente comme dispensatrice de licences antifascistes sur la base d’unprimauté morale anti-historique (la Résistance était en fait un mouvement articulé et choral, qui ne concernait pas seulement les partisans rouges).

Beppe Sala et la polémique sur le premier ministre

Ainsi, précisément dans les heures consacrées aux célébrations et aux commémorations, les polémiques prévisibles contre la droite ne manquaient pas. Et notamment face à Giorgia Meloni. “Je parle avec respect pour le président, mais qu’apporte aujourd’hui aussi la lettre au Corriere della Sera ? Quels changements par rapport à ce que l’on a toujours entendu ? Absolument rien. Au lieu de cela, marcher parmi les gens est quelque chose qui renforce la communauté et nous devons renforcer la communauté“, s’est plaint par exemple le maire de Milan, Beppe Sala. “Je pense que ce ne serait pas si difficile non plus, disons antifascistes: c’est si difficile? Deux, être présent parmi les gens des jours comme celui-ci», a poursuivi le maire, interrogé par des journalistes. Et les énormes appels téléphoniques habituels provenaient aussi du parti démocrate. controverse sur l’antifascisme, avec un carrousel de déclarations.

Attaques de la gauche

La présidente Meloni, réitérant son incompatibilité avec toute nostalgie, ne s’est pas non plus cette fois définie comme antifasciste“, il a attaqué Sandro Rutolo du secrétariat dem. Même chose pour le sénateur Pd Francesco Boccia: “Nous regrettons que Giorgia Meloni, malgré un effort que nous reconnaissons mais qui entretient une évidente réticence, ne soit pas en mesure de se déclarer antifasciste“. De l’Europe verte, cependant, la polémique du co-porte-parole Angelo Bonelli: “Giorgia Meloni le 25 avril dit des choses que nous savions déjà, mais ne dit rien sur ses principaux représentants de son parti et leurs déclarations inacceptables ces derniers jours“. Au chœur des hostilités s’ajoutait, sur les pages de République, la voix d’Ezio Mauro. “Avec le gouvernement Meloni, nous sommes entrés dans une zone d’ombre historique : il n’y a évidemment pas de fascisme actuel mais il n’y a pas d’antifascisme, le corps mystique de l’État n’est plus soutenu par un squelette de valeurs fondatrices», écrit le journaliste, selon qui l’intention de «ce droite radicale“serait toujours à diriger le pays”dans une zone grise où le passé se mélange et se confond“.

Le jeu anti-Meloni des progressistes

Le chroniqueur a également parlé d’un “manœuvre de normalisation du fascisme historique, la banalisation de la dictature, son réductionnisme, le refus de la considérer comme une exception sensationnelle à la démocratie“. Mais la seule manœuvre perceptible est plutôt celle qui ne permet pas aux Italiens de célébrer le 25 avril sans les revendications instrumentales habituelles de la gauche. L’humiliant est alors le jeu haussier continu entrepris contre le Premier ministre par les progressistes. que Meloni aurait déserté le 25 avril et qu’on leur a refusé, ils ont demandé au Premier ministre de condamner le fascisme et les lois raciales et cela s’est produit plusieurs fois. Maintenant – comme ce n’est jamais assez – ils demandent que le mot soit prononcé “antifascisme» et puis qui sait quoi d’autre ils demanderont pour gâcher la fête. Comme s’il fallait l’autorisation de la gauche pour fêter la Libération.



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