Transcendance élémentaire – De l’intérieur de la Terre

Transcendance élémentaire – De l’intérieur de la Terre

2023-05-02 10:59:56

par Olivier
am 2. Mai 2023
dans l’album

Transcendance élémentaire est un projet d’un seul homme – par un Islandais qui s’est opposé de telles réclamations d’ailleurs ni Gunnar ni Danni – d’un et De l’intérieur de la Terre un début funéraire aux conséquences déprimantes qui pourrait difficilement être intitulé de manière plus appropriée.

Les trois monolithes conceptuels d’exactement treize minutes et trente-sept secondes donnent chacun un peu l’impression De l’intérieur de la Terre à savoir en fait comme si Transcendance élémentaire ici une urgence ancienne, mystique et effrayante réveillée des profondeurs de la terre : seule comme la voix dans Première partie : Émergence abattre si guttalement – pas nécessairement haineux, mais maléfique et impitoyable d’une manière patiente comme répandre de la lave visqueuse avec un pouvoir guttural détruisant tout ce qui est beau, positif et brillant dans le monde simplement à cause de la nature des choses – crée une atmosphère lovecraftienne dont l’attrait captivant est inhérent.
De plus, le merveilleux Doom serpente héroïquement dans les textures de synthé de science-fiction d’une fascination ravie, laisse les riffs baver majestueusement déterminés. Un peu comme le ferait Encres avant Thergothon Arc. Dans tous les cas, avec la notion de chaînes, un a est crééUn mélodrame au ralenti disparu dans le temps comme la calamité oubliée des jours passés, dont l’angoisse sommeille comme un cauchemar rituel au fond de votre esprit et se résout maintenant en une anxiété suspensive à laquelle vous vous abandonnez volontairement à la catharsis.
Le fait que certains passages de la composition avant la descente finale soient tissés un peu moins proprement comme un patchwork structurel n’est guère significatif au vu de la gravitation générée.

Partie II : Éphémère se traîne stoïquement grondant comme le cœur et le point culminant du disque à travers un rêve de fièvre post-apocalyptique, qui se déchaîne de manière oppressante et agit comme l’équivalent spirituel récitant des hymnes symphoniques des nations bestiales : la muqueuse gastrique se digère dans la méditation de la grotte sombre.
Partie III : Transcendance erre encore plus loin dans l’obscurité ambiante occulte, broie un riff battu à mort dans le bruit cacophonique de la laideur sacrée, plongeant le brutalisme tourmentant dans un délire pastoralement slurping et slurping d’orgue dans la niche Lychgate et Ésotériqueafin de reconstituer après cet intermède au mastodonte, qui s’est terminé presque trop brutalement.
Si la mise entre parenthèses apparemment dogmatique de toujours la même longueur de chanson de (donc en aucun cas complètement arrondie à tout moment) la taille de Transcendance élémentaire ne pouvait pas faire obstacle chauve indiquer. Du moins pour le moment (l’atmosphère captivante presque divertissante, sa dynamique homogène avec une habileté éclectique dans les gammes et parfois presque gigantesque) De l’intérieur de la Terre mais aussi, malgré quelques défauts moins ignorables, sans doute la surprise de genre la plus impressionnante de l’année jusqu’à présent.

De l’intérieur de la Terre von Elemental Transcendance

Imprimer l’article



#Transcendance #élémentaire #lintérieur #Terre
1683285235

Facebook
Twitter
LinkedIn
Pinterest

Leave a Comment

This site uses Akismet to reduce spam. Learn how your comment data is processed.