L’activité physique réduirait-elle le risque de développer la maladie de Parkinson chez les femmes ?

L’activité physique réduirait-elle le risque de développer la maladie de Parkinson chez les femmes ?

Pour parvenir à cette conclusion, les scientifiques ont observé “l’impact de l’activité physique sur le développement de la maladie chez près de 100.000 femmes” et ce pendant 29 ans, expliquent-ils. Durant près de trois décennies, ces femmes ont rempli un questionnaire individuel de manière régulière afin d’évaluer leur rythme d’activité physique. Au sein de la cohorte, 1200 femmes avaient développé la maladie de Parkinson en 2018. Les chercheurs ont alors comparé le niveau d’activité physique parmi celles tombées malades, et le reste du groupe.

Ils en ont conclu que “les participantes atteintes par la maladie étaient globalement moins actives que les autres tout au long du suivi, y compris plus de 20 ans avant le diagnostic”. “Cet écart entre les femmes malades et non malades augmentait encore dans les dix années précédant le diagnostic” poursuivent les chercheurs. Un constat qui “suggère que les symptômes précurseurs survenus dans cet intervalle pourraient être responsables d’une baisse de l’activité physique chez les femmes qui développeront la maladie, mais n’ont pas encore été diagnostiquées”.
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