Le contenu contient une image de Tariq Ramadan et de ses avocats venant au palais de justice de Genève pour son procès de viol et d’agression sexuelle. Le texte souligne l’importance de distinguer les tribunaux pénal et médiatique, et met en garde contre la sacralisation de la parole des victimes. Les avocats de Ramadan ont demandé le retrait de certaines preuves du dossier d’accusation, affirmant qu’elles étaient exclusivement à charge et tendancieuses. Ils ont également soutenu que Ramadan était victime d’un complot et que les dépositions des plaignantes françaises avaient été copiées-collées pour renforcer la plainte suisse. Le procès a cependant été différent de ce à quoi s’attendaient les avocats de Ramadan, puisque les dépositions des plaignantes françaises ont été largement absentes des débats et n’ont pas été citées dans le réquisitoire du procureur.
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