El Salvador. Le gouvernement Bukele a réagi durement à la déclaration de l’ONU sur les arrestations

El Salvador. Le gouvernement Bukele a réagi durement à la déclaration de l’ONU sur les arrestations

2023-05-21 06:10:12

San Salvador. Mercredi soir, Manuel Gámez Morales, fils de Vidalina Morales, responsable de l’organisation environnementale Asociación para el Desarrollo Social económico de Santa Marta (Ades), a été arrêté sous prétexte d’état d’urgence. Après que des organisations nationales et internationales ont protesté contre cela, il a été libéré le lendemain libéré.

L’arrestation est liée aux activités d’Ades et d’un avis des Nations Unies sur la situation de cinq dirigeants communautaires détenus depuis janvier 2023 (america21 rapporté).

Le gouvernement salvadorien a répondu le 6 mai à une demande de plusieurs rapporteurs spéciaux des Nations unies (ONU). Dans un tweet du 16 mai, Mary Lawlor, rapporteuse spéciale sur la situation des défenseurs des droits de l’homme, a continué à s’exprimer concerné sur la situation des cinq représentants de la communauté et exige leur libération.

Le même jour, un policier a été tué alors qu’il patrouillait à Nueva Concepion, Chalatenango. Dans deux tweets, le président Bukele a fait le lien entre les critiques de l’ONU et le meurtre du policier : « Les membres de gangs restants dans notre pays viennent d’assassiner l’un de nos héros. Mais les ONG des « droits de l’homme » ne diront rien, elles prendre soin de uniquement concernés par les droits des criminels ».

Et : “Faites savoir à toutes les ONG des ‘droits de l’homme’ que nous allons détruire ces maudits tueurs et leurs collaborateurs, nous les mettrons en prison et ils n’en sortiront jamais. Nous nous moquons de leurs reportages pathétiques, de leurs journalistes payés, de leurs des politiciens fantoches ou leur fameuse “communauté internationale” qui ne s’est jamais souciée de notre peuple Nous guérirons complètement notre pays et ce fléau retirer. Emmenez vos recettes ratées ailleurs”.

La ville de Nueva Concepción, où le policier a été tué, a été encerclée par plus de 5 000 soldats et recherche maintenant maison par maison d’éventuels complices et membres de gangs passé au peigne fin. L’état d’urgence était aussi la 14e fois étendu.

En plus de ses efforts pour faire libérer les cinq paroissiens, Ades reste active dans la conservation de l’environnement et contre d’éventuels projets miniers à Cabañas. Dans une interview accordée à une station de radio, Morales a déclaré que le gouvernement avait l’intention de mettre fin à l’interdiction minière au Salvador en vigueur depuis 2017. Annuler. Ceci est lié à l’arrestation des cinq membres d’Ades. Le même jour, les forces de sécurité ont arrêté son fils au motif de l’état d’urgence.

Vidalina Morales décrit le contexte dans une lettre ouverte à la commissaire aux droits de l’homme d’El Salvador, Raquel Caballero de Guevara. De nombreuses organisations nationales et internationales protestent contre cette arrestation. Un jour plus tard, il était libéré. Entre-temps demandé l’avocat a accordé à plusieurs reprises un permis de visite au tribunal à l’un des membres de la communauté emprisonnés qui auraient été malades.




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