La start-up bruxelloise, qui a été longtemps célébrée, a dépensé des dizaines de millions d’euros en six ans pour tenter de faire accepter son vélo électrique connecté sur les routes. Le management maintient des ambitions élevées et promet bientôt la rentabilité.
Article réservé aux abonnés.
Tanguy Goretti et Adrien Roose, les cofondateurs de Cowboy, avec leur dernier modèle, toujours électrique et connecté, le Cowboy 4 ST.
Journaliste au service Economie, par Amandine Cloot, publié le 22/05/2023 à 08:56. Temps de lecture : 7 min.
C’est, sans aucun doute, la start-up bruxelloise la plus médiatisée de ces dernières années. Cowboy, lancée en 2017, conçoit, produit et commercialise un vélo électrique connecté (la cinquième génération, le Cowboy 4 ST, est sur le marché). Et développe en parallèle les logiciels nécessaires aux technologies embarquées sur sa bécane, pilotées via une application smartphone. Recherche et croissance, comme dans la plupart des entreprises « tech » – les fondateurs ne se présentent pas comme de « simples » fabricants de vélo – ont été jusqu’à présent financées par du capital à risque et de la dette.
Cet article est réservé aux abonnés. Avec cette offre, profitez de : l’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction, le journal en version numérique, ainsi qu’un confort de lecture avec publicité limitée.
#pari #gonflé #des #vélos #connectés #Cowboy
publish_date]