Certaines victimes peuvent tomber dans un mécanisme psychologique connu sous le nom d’erreur d’attribution causale en raison des conséquences. Michaël Hogge, chargé de projet épidémiologique chez Eurotox, qui travaille pour l’observatoire socio-épidémiologique alcool-drogues en Wallonie et à Bruxelles, explique que les victimes attribuent leur malaise à une prétendue soumission chimique par injection en raison des discussions dans les médias et des messages inquiétants reçus lors de fêtes. Hogge ajoute que la peur d’avoir été piqué cache souvent la crainte d’avoir été drogué, bien que l’administration d’un produit par seringue ne soit pas courante dans les environnements festifs. Il explique que piquer est un acte invasif et que, généralement, il y a un contrôle social dans ces cas-là. De plus, tous les produits ne peuvent pas être injectés par voie intramusculaire avec un effet suffisant pour mettre la victime sous soumission chimique.
Sony Interactive Entertainment célèbre les 30 ans de PlayStation avec une collection nostalgique en édition limitée
La collection commémorant le 30e anniversaire de la marque sera disponible à partir du 21 novembre et