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porte sur la frustration croissante des Marocains face aux coûts de la vie, à l’inflation et à la crise sanitaire. Plus particulièrement, il est question de l’approche de l’Aïd Al Adha et de l’augmentation des prix des ovins, qui rendent leur achat difficile pour de nombreux ménages. Malgré les annonces du ministère de l’Agriculture concernant une régulation des prix, les citoyens se plaignent de la cherté des animaux cette année. Ceci est expliqué par les multiples crises traversées cette année par le pays, notamment la sécheresse et le conflit russo-ukrainien. Malgré une offre abondante, avec plus de 2 millions de têtes d’ovins et de caprins dans la région Casablanca-Settat, aucune communication officielle n’a encore été faite quant à une possible annulation de l’Aïd Al Adha.
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