Dans sa première déclaration publique depuis la brève rébellion de Wagner, Vladimir Poutine s’est présenté comme un garant de la paix en Russie, affirmant avoir évité un bain de sang. Il a accusé l’Ukraine et l’Occident de souhaiter une solution fratricide. Le président russe a également souligné qu’il était en réunion de travail avec les principaux responsables de la sécurité du pays et les a remerciés pour le travail accompli. Poutine a proposé aux membres de Wagner impliqués dans la mutinerie de rejoindre l’armée régulière, de rentrer chez eux ou de partir au Bélarus. Il a accusé le patron de Wagner d’avoir trahi son pays et son peuple. Prigojine, de son côté, a justifié sa révolte en affirmant vouloir sauver son organisation et mettre en lumière les graves problèmes de sécurité en Russie. Les autorités russes ont annoncé la fin du régime d’opération antiterroriste dans certaines régions, et le recrutement de Wagner a repris dans certaines parties du pays. Cette crise représente le plus grand défi auquel Poutine a été confronté depuis son arrivée au pouvoir, et de nombreux analystes estiment qu’elle pourrait affaiblir les forces russes en Ukraine et profiter à Kiev dans sa contre-offensive.
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