Grâce au stratagème d’épargne de mes parents, j’ai fait fortune

Grâce au stratagème d’épargne de mes parents, j’ai fait fortune

2023-06-30 13:28:25

Sarah Sharkey est devenue une épargnante réussie grâce à ses parents.
Sarah Sharkey

Sarah Sharkey a appris très tôt de ses parents l’importance d’économiser de l’argent.

Enfant, elle a déjà investi 50% de ses revenus provenant de cadeaux et autres dans un compte d’épargne.

Sa stratégie d’épargne lui a déjà permis de financer sa propre maison et, avec son partenaire, a construit une valeur nette à six chiffres.

Économiser de l’argent n’est pas toujours facile. Pour un avenir stable, cependant, il est crucial d’investir régulièrement. Heureusement, j’ai appris cette leçon de mes parents très tôt. Je devrais économiser 50% de ce que j’ai. Même si je n’étais pas fan de ce conseil quand j’étais enfant, cela m’a aidé à bâtir une stabilité financière.

Mes parents m’ont appris à économiser de l’argent dès mon plus jeune âge. En tant qu’enfant incroyablement chanceux, je recevais souvent de l’argent en cadeau pour mon anniversaire ou à Noël. Mes parents en ont profité pour m’apprendre l’importance de mettre de l’argent de côté même quand on ne le veut pas.

Ils ont enseigné cette leçon en me demandant de mettre la moitié de l’argent que j’ai reçu dans un compte d’épargne. A chaque anniversaire, je comptais mes cadeaux. Et mes parents m’ont conduit à la banque pour en mettre la moitié sur mon propre compte d’épargne. Peu importe d’où je tenais l’argent, jusqu’à l’âge de 18 ans, la moitié finissait toujours sur un compte d’épargne.

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Économiser de l’argent, c’est bien en théorie. Mais en réalité, économiser de l’argent signifie renoncer à l’option d’acheter quelque chose. Vers l’âge de dix ans, je n’étais pas toujours satisfait de l’arrangement.

Comme je n’avais pas le droit de dépenser mes économies d’enfance avant l’âge de 18 ans, j’ai souvent essayé de négocier une exemption du taux d’épargne de 50 %. Enfin, j’avais des jouets et des jeux que je voulais acheter en cours de route. Mais mes parents m’ont aidé à m’en tenir à un plan d’épargne. Nous allions toujours à la banque pour déposer la moitié de l’argent que je recevais quand j’étais enfant.

Comment j’épargne à l’âge adulte

En grandissant, je me suis habitué à l’idée que l’épargne devrait être une priorité. Même s’il m’a fallu un certain temps pour m’y habituer, je suis reconnaissant que mes parents m’aient aidé à faire de l’épargne une habitude.

Lorsque j’ai quitté la maison, épargner une partie de mes revenus était profondément ancré dans mon état d’esprit. Alors j’ai pris cette idée dans ma vie d’adulte. Même si je n’ai certainement pas toujours été en mesure d’économiser 50 % de mes revenus, je me suis toujours assuré de donner la priorité à l’épargne.

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En parallèle, j’ai toujours fait un effort pour épargner au moins une partie de mon salaire ou de mes revenus de freelance. Mais sans les premiers conseils de mes parents, je ne suis pas sûr que l’épargne jouerait un si grand rôle dans mon budget.

Jusqu’à présent, ma stratégie d’épargne fonctionne

Ma stratégie d’épargne consistant à en épargner chaque jour de paie m’a ouvert la porte à un brillant avenir financier.

Voici quelques choses avec lesquelles ma mentalité d’épargne m’a aidé:

  • Ma première priorité financière après avoir obtenu mon diplôme universitaire a été de constituer un solide fonds d’urgence. Et avec mes habitudes d’épargne, j’ai pu constituer un fonds d’urgence de 35 000 $.
  • L’objectif suivant était d’acheter une maison. En 2020, mon mari et moi avons pu acheter notre première maison avec une mise de fonds de 20 %.
  • Quand j’avais 25 ans et mon mari en avait 31, nous avons construit une valeur nette à six chiffres. Cela a été possible en réaffectant une partie de notre épargne à un portefeuille d’investissement avec une perspective à long terme.

Finalement, j’ai réalisé que si je voulais épargner plus, je devais gagner plus. Je me suis donc concentré sur la construction d’une nouvelle carrière en tant qu’écrivain indépendant. Bien qu’il ait fallu du temps et une budgétisation minutieuse, nous sommes maintenant en mesure d’économiser 50 % de nos revenus.

Je peux honnêtement dire que la réalisation de ces objectifs d’épargne ne serait pas possible sans la solide habitude d’épargne que j’ai développée dans mon enfance. Sans les conseils de mes parents pour faire de l’épargne une priorité, ma vie financière pourrait être complètement différente.

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Cet article a été traduit de l’anglais par Klemens Handke. Vous pouvez trouver l’original ici.



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