2023-07-04 21:38:16
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Le 28 juin, elle est revenue se présenter pour traquer l’ex qui avait déjà été condamné en première instance et en appel à 11 ans pour agressions sexuelles répétées, blessures et menaces de mort. Une demande d’aide d’une femme roumaine de 33 ans recueillie par les carabiniers de Riesi qui ont alarmé le procureur général de Caltanissetta qui, en avril, avait obtenu la condamnation de l’homme, Razvan Barozi son nom, roumain, 26 ans. Craignant que le prévenu, entre-temps assigné à résidence, ne passe des menaces aux actes, le suppléant pg Fabiola Furnari a demandé et obtenu en un temps record de la cour d’appel l’aggravation de la mesure conservatoire pour le prévenu. Mais la rapidité de la justice n’a pas évité le pire : et la femme, 33 ans également originaire de Roumanie, s’est suicidée par pendaison, sans doute de peur que les violences qu’elle a subies ne se répètent.
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Suicide pour l’ex harceleur
L’histoire se déroule à Riesi, une ville de la province de Caltanissetta. Barzoi, 26 ans, quelques boulots occasionnels, et sa compagne étaient ensemble depuis cinq mois en 2020. Une relation très trouble avec des tensions qui ont abouti à des violences que la victime avait dénoncées. Ses récits avaient été jugés crédibles par les juges de première et de deuxième instance qu’ils avaient a condamné l’ex à 11 ans de prison pour agressions sexuelles répétées, menaces et mauvais traitements. Entre-temps, l’homme était assigné à résidence.
Aspects à clarifier
Le Roumain, cependant, s’est suicidé plus tôt. Avertir les carabiniers des intentions de la victime aurait été le même ex-partenaire à qui la femme aurait téléphoné peu avant de se suicider. Une circonstance sur laquelle enquêtent les militaires pour tenter de bien reconstituer la dynamique des faits. Dans l’affaire il y a des aspects à éclaircir : comme les appels téléphoniques que la victime aurait passés à l’ex ces derniers jours. Ou l’aspect des contrôles auxquels le Roumain devait être soumis, étant assigné à résidence et ayant des obligations que, évidemment, ayant continué à menacer la femme, il n’aurait pas respectées. Le corps de la Roumaine a été restitué à sa famille et la justice a décidé de ne pas procéder à l’autopsie. Pendant ce temps, sur sa page Fb le 30 juin, jour du suicide de la victime, Barzoi écrivait : « ma belle reine que Dieu vous accorde la paix. Tu m’as quitté trop tôt, je t’aimerai toute ma vie, je ne t’oublierai jamais, ma belle âme».
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à Il Gazzettino
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