Les Sept Nains sont un clan de rustres : les supprimer de Blanche-Neige est un acte de civilité

Les Sept Nains sont un clan de rustres : les supprimer de Blanche-Neige est un acte de civilité

2023-07-20 08:16:06

Je ne comprends vraiment pas les gémissements répandus des veuves du prince charmant de Blanc comme neige. Encore moins je peux comprendre l’horreur vacui qui a causé la disparition de la vie de cette fille aux sept couleurs, grossière, violente, misogyne et surtout cupide trafiquante de diamants.

Y a-t-il vraiment encore des femmes capables de regretter ce jeune fils de père bidon, qui se sent comme une figue qui se promène avec une cape ridicule qui lui couvre à peine les fesses, avec une épée de taille embarrassante, avec une coupe de cheveux digne d’une vieille affiche de barbier de village ?

Commençons à voir clair dans les figures ambiguës des Sept Nains, nous en déduirons qu’il n’est pas possible aux civilisés de se plaindre du bannissement de ce clan de criminels.

Pensez aux dommages causés au paysage depuis près d’un siècle à cause d’eux. Ils ont gagné de l’argent en vendant les droits de leurs images dans le monde entier pour encourager un abominable abus de construction, une défiguration esthétique qui défigure les jardins et les petits jardins avec leurs reproductions écoeurantes en plâtre, voire en plastique à l’impact environnemental désastreux.

Mais revenant au contexte de l’histoire de Blanche-Neige, je me tourne vers les personnes en deuil qui se plaignent de la mort de ces beaux mecs au nom du politiquement correct : n’ont-ils pas réalisé que les sept voyous kidnappent une fille mineure aux ambitions de princesse pour en faire leur servante ?

Nul doute que la période que Blanche-Neige passe chez les nains est assimilable à un régime d’esclavage : ils la forcent aux tâches les plus humbles sans l’ombre d’une compensation, elle est obligée de laver leurs pédales crasseuses, leurs slips incrustés, nettoyer la maison, cuisiner. En plus de s’occuper personnellement de leur hygiène intime animale. Le tout sans même appliquer le contrat national des femmes de ménage et aides-soignants qui prévoit un juste salaire, un repos hebdomadaire, des congés et une indemnité de départ ?

L’exploitation par les nains proxénètes de la malheureuse Blanche-Neige ne s’arrête pas même avec sa mort. Ils continuent de la maltraiter même lorsque la jeune fille s’effondre fatalement, dans l’apothéose du désespoir, mettant fin à ses souffrances après s’être confiée imprudemment à un vieux pousseur, avec l’illusion de pouvoir échapper à son angoisse en recourant à des substances psychotropes.

Complètement méprisants des règles les plus élémentaires de la pietas, qui sont respectées même dans les milieux les plus sordides, ils s’acharnent d’abord à coups de pioche contre une frêle vieille dame, qui aurait de toute façon eu droit à un procès régulier. La brutale justice sommaire est soupçonnée d’avoir été un prétexte, en réalité le véritable but était de s’emparer de la place de la boutique de pommes empoisonnées, exclusivement au profit de leur famille et de sortir le clan de Grimilde de ce giron.

Après cela, ils conçoivent une autre activité criminelle, concevant un plan d’exploitation cynique de Blanche-Neige morte. Au lieu d’enterrer le corps de la jeune fille, ils l’exposèrent, essayant sans doute de profiter une fois de plus des perversions d’un groupe de nécrophiles qui parcouraient cette forêt à la recherche d’émotions interdites. Autre que la justification “elle était si belle même morte que les nains n’ont pas eu le cœur de l’enterrer”. C’était un truc prémédité pour en tirer de l’argent, même s’ils avaient des donjons pleins de diamants, ils étaient avides au-delà de toute mesure.

À ce stade, seul le hasard mène à une fin heureuse. Soudain, ce prince charmant déconcerté entre en scène et pendant toute cette tragédie, on ne sait pas comment il a passé son temps insipide. Il fait une apparition fugitive au début de l’histoire, lorsque Blanche-Neige délire alors qu’elle regarde dans un puits (embrasser des crapauds dans l’espoir d’avoir des princes la met probablement en contact avec des substances hallucinogènes).

Il joue un petit jeu avec la fille, elle se cache derrière un rideau, il s’ennuie et s’en va. Fin de l’histoire d’amour.

Lorsqu’il la voit immobilisée dans la rigor mortis, il se sent soudain libéré de son anxiété de performance et, bien qu’à contrecœur, l’embrasse.

Elle se réveille, il la fait monter sur son cheval et, le menant par le licol, part vers le coucher du soleil. Il n’ose même pas monter avec elle, on dirait presque que le contact physique lui répugne.

Le château fait de nuages ​​que l’on entrevoit dans la dernière image ne peut que nous laisser sur le fond le soupçon d’une principauté vantée. Blanche-Neige est définitivement tombée de la poêle dans le feu. Il lui a fallu vraiment beaucoup de courage pour croire pendant toutes ces années qu’à partir de ce moment, il y aurait un avenir heureux pour elle. Cependant, nous devions nous fier au “heureux pour toujours” consolateur du signe final.

Nous allons maintenant voir comment Blanche-Neige jouera sa vie, enfin sans être alourdie par ce fardeau douloureux de mâles inutiles.



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