Le samedi 7 octobre, les membres du Hamas ont attaqué Israël et ont ciblé de nombreuses femmes. Les secouristes et les survivantes ont témoigné des violences subies, tandis que les autorités israéliennes enquêtent.
Il semblerait que le viol soit devenu une arme de guerre pour le Hamas. Deux mois après les attaques du 7 octobre, les preuves de violences et de crimes sexuels commis par le Hamas en Israël s’accumulent. Les enquêteurs ont jusqu’à présent recueilli “plus de 1 500 témoignages choquants et pénibles”, a déclaré une policière à la Knesset, le parlement israélien.
Un secouriste, Haim Otmazgin, a témoigné des scènes d’horreur qu’il a vues lorsqu’il est intervenu sur les lieux des massacres. Il a découvert des centaines de corps sans vie, mutilés et parfois abusés. Il a pris près de 3 000 photographies pour documenter les crimes.
D’autres survivants ont également témoigné des viols collectifs perpétrés par le Hamas. Il semblerait que le Hamas ait lui-même documenté les exactions commises par ses soldats.
D’autres victimes sont toujours retenues en otage dans la bande de Gaza. Le président américain Joe Biden a condamné les violences sexuelles des terroristes du Hamas, tandis que la ministre française chargée de l’égalité entre les femmes et les hommes a appelé à reconnaître les viols de masse.
Le Hamas a nié les accusations de viols, qualifiant ces allégations de “mensonges”. En représailles, Israël mène d’importantes opérations militaires à l’intérieur de la bande de Gaza.
