A la naissance de son fils Atlas en 2008, Christopher Anderson a soudainement pris conscience qu’il ne pouvait plus «retourner à la guerre», comme il dit. Après s’être fait connaître à la fin des années 1990 avec un reportage sur des migrants haïtiens embarquant pour les Etats-Unis sur un petit bateau de fortune qui finira par couler (un reportage qui lui vaudra la Médaille d’or Robert Capa), après avoir travaillé en Afghanistan, en Irak, au Liban, au Venezuela ou encore en Israël et en Palestine, après avoir également œuvré dans la photographie de mode, ce Canadien d’origine – qui a grandi au Texas et vit désormais à Paris – a peu à peu commencé à travailler sur des sujets plus proches de lui.
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