L’euphorie que connaissent les marchés, aussi bien sur le front des actions que des obligations en cette fin d’année, reflète l’enthousiasme qui anime les investisseurs depuis qu’ils ont été rassurés par le patron de la Réserve fédérale américaine, Jerome Powell: finie la hausse des taux. Finie l’inflation. Mais, prévient Lars Kalbreier, il faudra attendre 2025 pour voir la croissance mondiale accélérer de nouveau. Elle restera faible l’année prochaine, voire négative. Tour d’horizon des opportunités de 2024 avec le responsable des investissements du groupe helvétique Edmond de Rothschild, qui gérait 164 milliards de francs au 30 juin dernier.
Le Temps: Comment abordez-vous 2024? Sera-t-elle une année de rupture ou de continuité?
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