VIDÉOS. Les grandes affaires criminelles qui ont marqué le Havre

VIDÉOS. Les grandes affaires criminelles qui ont marqué le Havre

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Période de fin d’année oblige, la rédaction de 76 actuellement vous propose de (re) lire notre série dédiée aux affaires criminelles qui ont marqué la ville du Havre du XIXe siècle à aujourd’hui.

Des crimes retentissants qui, parfois, ont dépassé les frontières de la Normandie.

L’assassinat des époux Haudard

C’est en 1830 qu’un assassinat des plus sanglants se produisit. Celui des époux Haudard dans leur demeure du Havre.

Leurs corps ont été retrouvés par un de leurs voisins. Le cadavre de l’époux, percé de plusieurs coups de poignard, se trouvait au rez-de-chaussée. Au premier étage, se trouvait sa femme, « presque décapitée ».

Au départ, quatre personnes ont été accusées de ces crimes, dont la femme de ménage. C’est finalement elle qui a  été reconnue coupable (sans grandes preuves) et qui sera condamnée par le tribunal à la peine de mort.

Notre article à lire ici

L’affaire Troppmann

Sans nul doute l’une des plus grandes affaires criminelles du second Empire. En 1869, le corps de six membres de la même famille, dont des enfants, sont retrouvés dans un champ à Pantin en région parisienne.

Après quelques jours de cavale, le principal suspect est interpellé dans la cité Océane : Jean-Baptiste Troppmann, la vingtaine.  Ce dernier reconnait les assassinats de cette famille et en avoue deux autres, celui du père et du fils ainé, soit au total, huit assassinats.

Il sera condamné à mort le  le 19 janvier 1870. Notre article à lire ici.

La mystérieuse Marie-Elisabeth Cons-Boutboul

Le 27 décembre 1985, Jacques Perrotavocat parisien et meilleur ami du Premier ministre de l’époque Laurent Fabius, est tué sur son palier à Paris, de trois balles provenant d’un 22 long rifle.

Après une (longue) enquête aux multiples rebondissementsson ancienne belle-mère, Marie-Elisabeth Cons-Boutboul est rapidement suspectée de cet assassinat.

Lors de son procès face à la cour d’Assises en mars 1994, son étrange personnalité est mise en lumière :  « menteuse », «affabulatrice », « sans émotion ».

Finalement, elle sera condamnée, le 24 mars 1994, à 15 ans de réclusion criminelle.

Tous les détails de cette affaire ici.

La mère qui tue ses trois enfants

En 1980, un triple infanticide vient ébranler la cité Océane. Trois jeunes enfants sont décédés, intoxiqués, à la suite d’un feu dans un appartement. Très rapidement, les soupçons se portent sur la mère de famille Christine Leroux qui, après plusieurs interrogatoires, finit par avouer.

Elle a mis le feu au matelas de la chambre de ses enfants et souhaitait « partir avec eux ». Mais ne l’a finalement pas fait.

Si au départ, elle est condamnée à la réclusion criminelle à perpétuité, un vice de forme vient rouvrir le dossier à la cour d’Assises du Calvados.

Au cours de ce procès l’avocat général évoque des circonstances atténuantes liées à sa personnalité « paumée ».

Les jurés ont finalement décidé de la condamner à 15 ans de prison, alors qu’en première instance elle avait été condamnée à la réclusion criminelle à perpétuité.

Notre article ici.

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2023-12-25 15:03:22
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