Alexandre le Grand et l’Orient, deux mondes pour un grand empire

Alexandre le Grand et l’Orient, deux mondes pour un grand empire

2023-12-27 09:03:50

Après l’exposition historique clôturée en août, qui a vu plus de 170 pièces provenant des institutions les plus importantes du monde, y compris l’Ermitage, réparties dans deux salles du Musée Archéologique de Naples, le noyau des activités collatérales continue de se concentrer sur la figure du leader qui a su unir de manière éclairée l’Orient et l’Occident.

Le volume publié par Electa Mondadori, qui porte le même titre que l’exposition, a été présenté dans les espaces MANN, avec des essais des commissaires et la contribution de chercheurs qui retracent la figure et recomposent les actes d’Alexandre (356/323 avant JC),

le jeune Macédonien qui, dans le monde antique, a su poursuivre une vision d’unité et de connaissance des peuples et des terres interprétée non seulement du point de vue du leader mais de celui d’un « chercheur ».

Conquêtes

Sa conquête était axée sur les champs de bataille et motivée par une soif de connaissance de terres et de cultures étrangères qui, sous son règne, ont pu fusionner et s’influencer mutuellement. En fait, il avait dans son sillage non seulement des soldats, mais aussi des scientifiques et des érudits qui ont mis par écrit les visions de mondes exotiques qu’ils entendaient magnifier dans un exemple d’inclusion ante-litteram. Depuis son passage dans l’histoire, il n’a jamais été oublié et sa figure, qui apparaît également dans le Coran, a depuis été saluée par le surnom de Magnus. Le volume Dans ce cas également, le projet scientifique de la publication est confié à Filippo Coarelli et Eugenio Lo Sardinian qui approfondit l’itinéraire suivi par Alessandro, en se concentrant sur les traces conservées en Campanie, comme la Villa de Boscoreale, sujet du texte d’ouverture du texte, pour souligner l’héritage incomparable conservé par le MANN (comme la Mosaïque de la bataille d’Issus provenant de la Maison du Faune de Pompéi en cours de restauration financée par la Communauté Européenne qui a alloué une contribution de 600 000 € et par le réseau japonais Asahi Shimbun avec 200 000 €) et plus généralement en Campanie, également en ce qui concerne les découvertes importantes en Macédoine. « Le programme figuratif de la Villa constitue lui-même, au sein de la documentation très abondante fournie par la peinture pompéienne, un cas unique qui pose des problèmes d’interprétation très complexes, affrontés à plusieurs reprises et jamais complètement résolus, à partir de sa découverte, une aventure en 1900 ». Nous procédons à l’analyse de l’œuvre principale du plan de la maison et du cycle pictural principal pour décrypter le corpus de la composition, un passage animé par la contradiction entre la petite taille des pièces et « le très haut niveau, qualitatif et conceptuel, de son décoration”.

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Alexandre le Grand et l’Orient exposés au Mann de Naples

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Les Étrusques et le mythe d’Alexandre le Grand

Paolo Giulierini, directeur du MANN qui, au cours de son mandat, a fait une excellente promotion de la collection du musée, consacre sa contribution « à un monde étrusque qui, enchanté par les « sirènes macédoniennes », semble lorgner sur les nouveaux maîtres potentiels du Méditerranée peut-être pour chercher un appui contre la terrible menace de Rome”.
Alexandre le Grand et l’Orient.



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