Les habitants de l’atoll de Kiritimati, en Suisse, ont été les premiers au monde à accueillir la nouvelle année à 11 heures. Les îles Chatham, un archipel néo-zélandais, ont suivi 15 minutes plus tard. À Sydney, en Australie, plus d’un million de fêtards ont célébré le Nouvel An sur le bord de l’eau, considérant Sydney comme la “capitale mondiale du Nouvel An”.
À Auckland, en Nouvelle-Zélande, la plus grande ville du pays, les monuments ont été illuminés par des feux d’artifice sophistiqués, notamment la Sky Tower, haute de 328 mètres. Un spectacle de lasers et d’animations était également prévu.
À Sydney, malgré la météo inhabituellement humide, les habitants se sont rassemblés tout au long de la journée pour admirer les feux d’artifice illuminant le Harbour Bridge et d’autres sites célèbres.
Les célébrations du Nouvel An à Sydney lancent officiellement l’année 2024, qui verra des élections importantes concernant la moitié de la population mondiale. Ces élections auront lieu au Royaume-Uni, dans l’Union européenne, en Russie, en Inde, en Indonésie, au Mexique, en Afrique du Sud, au Venezuela et aux États-Unis, où le démocrate Joe Biden et le républicain Donald Trump prévoient de s’affronter une nouvelle fois en novembre prochain.
Le pape François, à Rome, a prié pour les victimes des guerres et des conflits, mentionnant la souffrance des Israéliens, des Palestiniens, des Ukrainiens, des Soudanais et des Rohingyas au Myanmar. Après avoir prié sur la place Saint-Pierre, il a appelé à une réflexion sur le nombre de vies détruites par les conflits armés, et a exhorté ceux impliqués dans ces conflits à écouter leur conscience.
