« Cash for Rares » : une vendeuse lance une contre-attaque musclée au concessionnaire

« Cash for Rares » : une vendeuse lance une contre-attaque musclée au concessionnaire

2024-01-04 17:31:00

« De l’argent pour les rares »
“C’est un dicton stupide” : une vendeuse contredit fortement le concessionnaire

« Rien ne va plus » : C’est avec ces mots que le marchand David Suppes (à droite) quitte la vente aux enchères chez « Bares für Rares ». La vendeuse n’est pas amusée.

© ZDF

Ce dicton n’a pas été bien reçu : le revendeur David Suppes a voulu dire une phrase en français à “Bares für Rares” – et a été repoussé par la vendeuse.

“Je suis tellement impressionnée par ces pièces que je ne les utilise pas” : c’est ce que dit Inge Jacobshagen à propos de l’élégant service à thé qu’elle possède chez ““Cash for Rares” : l’enseignante à la retraite de Hanovre, âgée de 78 ans, l’a reçu autrefois en cadeau de sa belle-mère, mais elle souhaite désormais le remettre entre de bonnes mains : “Il faut que ce soit un animal de compagnie”. est son souhait.

L’expertise commence en trombe : “Cela vient du Service de l’Empereur Napoléon”, précise Friederike Werner. Horst Lichter est complètement interloqué : “Quoi ? Cela appartenait à Napoléon ?”, demande l’animateur. Mais l’expert le corrige : il s’agit de Napoléon III, qui a siégé sur le trône de 1852 à 1870. Le service a été réalisé vers 1860 à partir de la porcelaine la plus fine.

« Cash for Rares » : Les dealers parlent français

Le vendeur annonce 1000 euros comme prix souhaité. Mais en raison des dégâts, Werner baisse considérablement le prix : elle estime la valeur à seulement 600 euros. « Vous ne pouvez rien y faire », soupire Jacobshagen. Elle veut toujours le vendre.

Dans la salle des concessionnaires, l’élégant service français encourage les concessionnaires à goûter aux meilleures phrases qu’ils connaissent dans cette langue. Il convient « pour un petit tête-à-tête », précise Susanne Steiger. «C’est juste», répond Julian Schmitz Avila. « Absolument », ajoute Steve Mandel. Steiger semble à bout de nerfs et ne sait que : « Petit-déjeuner ».

Mandel commence la vente aux enchères avec 200 euros, Schmitz-Avila la monte à 250 – puis Susanne Steiger pense à un mot français : “Trois centimes”, dit-elle, 300 euros. «Pas de croissant», répond la vendeuse lorsqu’elle le demande. Sur les “trois cent cinquante” de Mandel – 350 euros – David Suppes lance la seule phrase qu’il connaisse en français : “Rien ne va plus, je m’en vais”. Inge Jacobshagen n’est pas très enthousiaste : “C’est un dicton stupide”, répond la vendeuse sous les rires des autres revendeurs.

Steve Mandel fait un effort supplémentaire et propose 450 euros. Le cœur lourd, le natif de Hanovre a du mal à accepter l’accord. Elle rentre donc chez elle avec un prix inférieur au prix souhaité. “Bien sûr, je suis un peu déçue”, admet ensuite Inge Jacobshagen. Mais elle le voit positivement : “Je pense aussi que c’est de l’argent.”

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