Nîmes se déplace à Orléans et Alès reçoit le Paris-Fc pour les 32e de finale de la coupe de France de Football

Les 32e de finale de la coupe de France de Football ce samedi. On surveillera tout particulièrement le Nîmes Olympique qui se déplace à Orléans, match à 15h30 entre deux équipes de Nationale et surtout chez nous, à la même heure au stade Pierre Pibarot, l’OAC, l’Olympique Alès en Cévennes, club de Nationale 2 qui affronte un gros morceau de Ligue 2, le Paris Football Club, l’actuel 10é contre des alésiens qui se débattent en bas de tableau de leur propre championnat.

La coupe de France habituellement la coupe de toutes les surprises, deux divisions d’écart entre le Paris-FC et l’OAC mais la vérité sort toujours du terrain. Jean-Marie Pasqualetti est manager général des olympiens.

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Une rencontre qui créé un engouement certain

Un 32e de finale de la coupe de France de Football au stade de Pibarot, forcément du monde au guichet de réservation du club. Club qui s’est hissé – dans un passé récent jusqu’aux 16e mais à cause de la Covid la fête n’a pas été au rendez-vous. Elle le sera cette fois, “je suis né ici, je supporte l’OAC” dit celui-là, “nous les voyons prendre de l’ampleur année après année” dit cet autre. “Et pourquoi pas taper une ligue 2, tout est possible“.

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Un stade plein comme un œuf

Un stade de Pibarot qui pourrait afficher complet (4.000 places) car les alésiens sont derrière leur équipe phare. En tout les cas, ils se pressaient au centre de formation Jean Sadoul pour “s’arracher” les places mises en vente. Alors, certes,
deux divisions d’écart entre Alès et le Paris-FC, “Un monde, un abyme”, mais les olympiens ont des arguments à faire valoir. Lucas Franco est arrière défensif.

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La fête à Alès, et un grand match espère-t-on même si la coupe de France de football est la cerise sur le gâteau pour entamer l’année 2024 (Recettes, écharpes aux couleurs du club et buvette), l’objectif reste quand même le championnat de N2 pour l’OAC qui compte sur une victoire -à tout le moins – pour se sortir de la zone reléguable.