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Au milieu du village de tentes qui ne cesse de s’agrandir au sud de Rafah, celle de la famille de Samah Hamdan est noire, en forme de yourte, et surtout, pas assez grande pour les 25 personnes qu’elle abrite depuis le 4 janvier. «On passe nos journées à chercher de l’eau et de la nourriture. On ne vit pas, on survit», écrit cette professeure de français originaire de Gaza-ville, qui en est à sa troisième évacuation.
85% des Gazaouis déplacés
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