L’hiver est parfois accompagné d’un trouble affectif saisonnier. Les scientifiques ont étudié l’impact des jours courts et de la faible luminosité sur nos comportements en hiver. Ce trouble est lié au manque de lumière et au raccourcissement du temps de soleil. Il est également influencé par des facteurs non biologiques tels que les attentes sociales lors de certaines périodes de l’année, en particulier en hiver.
Pour se préserver contre le trouble affectif saisonnier et ses effets, il n’existe pas de recette magique. Cependant, il est important de faire le point sur la réalité de sa vie, d’être honnête et lucide vis-à-vis de soi-même, et de ne pas trop attendre des périodes difficiles.
Aider un proche qui souffre d’une telle affection dépend de la raison de sa souffrance, de la relation que l’on entretient avec lui ou elle, et de son état actuel. Il est important de se mettre à l’écoute du proche souffrant, de reconnaître quand on est dépassé et de l’encourager à consulter un professionnel si nécessaire. Il est essentiel de se rappeler que ce qui compte, ce n’est pas seulement ce qui se passe en janvier, mais aussi ce qu’il se passe après.
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2024-01-13 13:13:52