Employés de VDL NedcarLes actions sauvages du personnel, ici en mai 2023, n’ont finalement eu aucun effet
En association avec
L1mbourg
NOS Nieuws•vandaag, 12:18
C’est le jour de la hache de guerre chez VDL Nedcar à Born. Aujourd’hui, toute la production de l’usine automobile du sud du Limbourg est à l’arrêt, mais les plus de 2 400 employés doivent encore se rendre au travail. Là, on leur dira s’ils peuvent ou non rester après le 1er mars.
“Nous espérons que tout le monde sera présent ce jour-là chez VDL Nedcar”, a écrit hier le directeur John van Soerland au personnel. “Seuls les salariés justifiant d’un motif valable sont exclus de cette obligation de présence. Les congés, un jour de congé programmé et le travail à domicile ne sont pas des motifs valables.”
L’une des salariées qui doivent se présenter est Anne-Marie Vankan. Elle a travaillé chez Nedcar pendant plus de trente ans, mais n’a désormais aucune idée de ce qui va se passer. “Je ne peux pas me prédire : suis-je là, n’est-ce pas ? Je ne sais rien”, dit-elle, les larmes aux yeux. 1Limbourg.
Tirs de masse
En soi, les licenciements massifs chez le seul constructeur automobile des Pays-Bas ne sont pas une nouveauté. La marque allemande BMW avait annoncé précédemment qu’elle ne serait plus en mesure de produire des voitures à Born après le 1er mars 2024. Même si le propriétaire VDL espérait beaucoup que d’autres constructeurs de voitures (électriques) transféreraient leur production à Born, cela ne s’est pas produit.
Le résultat est que plus de 1 900 employés de Nedcar sont désormais à la rue. Le 1er novembre de l’année dernière, 1 850 personnes ont également perdu leur emploi.
Systèmes de batterie
A terme, selon la direction, 474 emplois seront conservés après le 1er mars. Le reste du personnel peut travailler sur une série de petites tâches, telles que l’assemblage (assemblage) de systèmes de batteries pour BMW. VDL Nedcar estime que ce secteur pourra même continuer à se développer dans les années à venir, car les voitures électriques deviendront la norme. Selon la direction, d’autres clients pourraient se manifester à l’avenir pour produire (des pièces de) voitures dans le sud du Limbourg.
Le personnel et les syndicats ont milité à plusieurs reprises pour un bon plan social pour le personnel qui doit désormais partir. Cela s’est notamment traduit par le fait que les salariés licenciés de Nedcar reçoivent une indemnité liée au nombre d’années travaillées dans l’usine.
Sur le site spécial Arbeidsmarktplaats.eu, il existe également environ 600 postes vacants pour lesquels les gens peuvent postuler auprès de Nedcar. “Notre estimation est que plus de la moitié des salariés qui ont perdu leur emploi en novembre ont repris le travail”, déclare Huub Narinx, de l’Association des employeurs du Limbourg. Le LWV est partenaire d’un grand projet visant à placer les employés de Nedcar chez d’autres employeurs.
Professionnels
Beaucoup plus de personnes pourraient peut-être aller ailleurs. Selon divers experts, le Limbourg a un grand besoin de professionnels, y compris dans le secteur métallurgique.
2024-01-17 14:18:57
1705492689
#Journée #hache #guerre #chez #Nedcar #aujourdhui #personnel #sait #qui #doit #partir