Résumé de l’émission du 17 janvier : Neige, paquebot de croisière et absentéisme au travail

Résumé de l’émission du 17 janvier : Neige, paquebot de croisière et absentéisme au travail

Pour son émission du 17 janvier, Julien Bal était entouré de différents invités : Jean Kitengé, président de Défi Jeunes, Anne-Sophie Dekeyser, conseillère en communication et anthropologue, Arthur Martin, administrateur du service ucclois de la jeunesse et Nawal Bensalem, rédactrice en chef adjointe de la DH.

Pour commencer son émission, Julien Bal a abordé un sujet au cœur de l’actualité : la neige, tombée en abondance sur le pays. Le chaos annoncé sur les routes n’a finalement pas eu lieu. Pour Nawal Bensalem, “chaque fois qu’on annonce une grève, la visite d’un chef d’État, la neige, etc., il n’y aura personne sur les routes”. Elle ajoute que “c’est la preuve que les Belges sont prudents. On peut les féliciter, évidemment, mais certains exagèrent un peu et trouvent ce prétexte pour rester bien au chaud à la maison et qui n’habitent pas très loin de leur lieu de travail».

Ensuite, Julien Bal a lancé ses invités sur le plus grand bateau de croisière du monde. Les chiffres de ce mastodonte des mers ont de quoi donner le tournis : après sept ans de travaux, l’Icône des mers mesure 365 mètres de long, peut accueillir 5.610 passagers et 2.350 membres d’équipage avec 40 restaurants à bord et même une piste de patin à glace. Les constructeurs revendiquent le fait que le bateau respecte les mers et l’air. Que pensent les invités de ce paquebot ? “C’est une véritable catastrophe”, a commenté Jean Kitengé. “Ça me choque […] c’est une aberration écologique, mais ça répond à une demande”, a déclaré Arthur Martin.

En deuxième partie d’émission, Julien Bal est revenu sur l’absentéisme au travail en Belgique. Le phénomène des absences prolongées est aussi difficile à résoudre que le chômage de longue durée. Olivier Maüen, chargé de communication pour le syndicat neutre des indépendants est venu apporter son avis à distance : “Il ne se passe pas un jour sans qu’un patron ne nous appelle pour communiquer un problème, dire qu’il lui manque du personnel. C’est un problème constant. Les patrons ne trouvent plus personne”, a expliqué Olivier Maüen.

Retrouvez l’intégralité de l’émission en tête d’article.

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