Plus de tensions au conseil municipal Terni. Lors de la discussion d’une loi proposée par les minorités sur violence de genrele conseiller Cinzia Fabrizi (FdI) a critiqué les déclarations du maire Stefano Bandecchi, en novembre dernier, dans lequel il affirmait entre autres que “celui qui n’a jamais trompé sa petite amie n’est pas normal”. Le maire, à la Chambre, a répondu que “tous les hommes italiens me comprenaient, du moins les normaux, c’est-à-dire les plus sains d’esprit”. Et toutes les femmes normales me comprenaient. Cela dit, c’est vrai que l’Italie est pleine d’imbéciles et je comprends que c’est un problème pour certains de comprendre mes propos que je revendique tous, un à un.” Le ton est monté et… les minorités ont quitté la salle. Finalement, le document a été voté avec les modifications apportées par le parti qui soutient le maire, Alternative Populaire.
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