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L’importance de la fête en tant que nécessité et objectif – Médias Al-Baath

by Nouvelles
L’importance de la fête en tant que nécessité et objectif – Médias Al-Baath

2024-01-31 13:28:41

Dr.. Abdul Latif Omran

La vie du parti reste le pilier du changement et du développement, en raison de sa longue histoire et de ses réalisations, en particulier parmi nous, car elle a contribué au succès du mouvement arabe de libération nationale et d’indépendance contre le colonialisme ottoman et occidental. Ils ne concernent pas un seul parti, mais ils concernent le phénomène partisan en général, malgré l’importance de ce dont il est témoin : la vie de parti aujourd’hui au sein du Parti Baas socialiste arabe dans le pays syrien.

Personne ne nie que les partis nécessitent une restructuration continue conformément aux exigences du traitement des variables de la vie économique, politique et sociale, dans le but de combler le fossé entre les générations de partisans, comme le font les recherches qui s’intéressent à l’étude du phénomène partisan dans le monde. Il convient à l’unanimité que la plupart des partis traversent actuellement un processus de restructuration détaillé dont les conséquences ne sont pas encore claires.

Cette tendance a commencé à progresser et à se propager avec les résultats de la mondialisation depuis la fin du siècle dernier en raison de la fragmentation des sociétés contemporaines, notamment après la transformation d’un grand nombre de partis dans le monde en agences quasi gouvernementales, ce qui les a rendus sont confrontées à des défis en raison de leur incapacité à s’appuyer uniquement sur leur forte présence (de masse) dans la société, ainsi qu’à répondre aux besoins croissants et changeants des citoyens, dans la mesure où ils dépendent de l’aide de l’État.

Cela a obligé à soulever la question des sources de financement et des flux de dépenses non seulement sur les institutions et les activités du parti, mais aussi dans l’intérêt de l’accès de ses représentants aux institutions exécutives et législatives… etc.

D’autre part, cet accès a nécessité que certains dirigeants changent radicalement la vie de parti dans leur pays, en inventant leur propre parti à travers lequel ils dirigeraient l’État et la société, comme l’ont fait Zine El Abidine Ben Ali en Tunisie, Sadate et Moubarak en Égypte, et Deng Jiaoping en Chine, Berlusconi en Italie, Poutine en Fédération de Russie, Erdogan en Turquie, Macron en France… etc. Dans beaucoup de ces partis, le fondateur ou l’innovateur a construit son parti, son mouvement ou sa masse en se concentrant sur sa personnalité, peu importe si ces partis étaient, ou restent, publics ou autoritaires, électoraux ou idéologiques, l’important est qu’il a imposé sa présence populaire et institutionnelle à travers (des élections).

Quoi qu’il en soit, une grande partie des partis s’appuient aujourd’hui sur la communauté numérique et les réseaux sociaux pour consolider leur présence et compenser leur manque d’histoire de lutte politique et sociale, l’innovation dans les méthodes de travail des partis et dans leurs points de départ étant devenue une nécessité.

D’autre part, une autre partie des partis traditionnels maintient encore, dans une certaine mesure, dans sa stratégie la dimension idéologique basée dans la plupart de ses références, orientations et objectifs sur l’histoire, les traditions et les intérêts non contingents, autant que ce sont des constantes et des principes établis dont les négliger nuirait à la société et à l’État, et ce sont des partis qui tombent généralement sous le titre de (partis de masse) dans lesquels leur bureau politique a une forte autorité sur la structure organisationnelle et intellectuelle, et sur la la présence du parti aux niveaux local, administratif et externe également.

En général, ces partis doivent assumer la responsabilité de se reproduire avec flexibilité et développement, loin de (la bureaucratie du parti) à travers des forums participatifs et de l’interaction à travers le vote et les questionnaires via les médias sociaux, et cela dans le cadre de l’initiative constructive de dissolution du parti. contrôle de la hiérarchie officielle de sa structure organisationnelle.

Nous, les baasistes, luttons ces jours-ci pour renforcer notre présence légitime, souhaitée et prometteuse dans la société et dans l’État, en bénéficiant de notre histoire de lutte, de la littérature et des réalisations de notre parti, et de notre unité organisationnelle et intellectuelle qui peut être développé, innovant et efficace également, avec un nouvel état d’esprit conscient des exigences de la réalité et de l’avenir, dont les caractéristiques et les exigences ont été clairement énoncées par le secrétaire général du Parti. Camarade Dr Bachar al-Assad à l’ouverture de la séance des réunions du Comité Central du 16/12/2023, aux niveaux organisationnel, théorique et appliqué, et nous voilà aujourd’hui en train de vivre un nouveau chemin (organisationnel) qui n’était pas courant auparavant, dans lequel nous avançons lentement , avec prudence et avec une large participation basée sur des questionnaires, le dialogue et l’interaction. À travers divers réseaux sociaux, innovons notre parti et notre vie publique de manière à permettre au parti d’avancer dans la construction de la société et de l’État souhaités.

Cette voie organisationnelle se qualifie, avec le succès attendu, pour quelque chose de nouveau dans la voie de la théorie et de la pratique, prenant en compte la nécessité de construire la société politique nationale souhaitée avec ses constantes et ses principes, que seule la Syrie de la réalité et du futur peut pouvoir progresser en tant que parti, peuple et identité nationale, arabe et humaine.

Le Baath restera donc une nécessité et un objectif à l’heure où nos opposants ravivent un fanatisme raciste extrémiste et des identités meurtrières dont ils parlent clairement. Le secrétaire d’État américain s’est récemment rendu dans l’entité sioniste et a déclaré : Ici, je suis juif, pas un ministre. Et devant lui, le philosophe Habermas explique pourquoi l’armée américaine s’est armée d’une culture de revivalisme sectaire depuis la guerre en Irak. Hier, le Dr Kremenister (israélien) a conseillé et mis en garde Netanyahu : (Cette religiosité doit être éradiquée dans le armée, et cette capitulation face aux mauvaises tendances et idées racistes qui palpitent dans le cœur de ses soldats). Avec des gens comme ceux-là, nous sommes confrontés au fanatisme et même à des partis extrémistes qui suscitent un sentiment terroriste collectif qui investit négativement dans la religion, ce qui nous oblige à continuer avec des principes et des constantes, basés sur (les masses) et (l’idéologie).

Oui, le parti, et notre parti en particulier, est une nécessité et un objectif qui doit être atteint et qui doit être prometteur, surtout dans ces situations locales, régionales et internationales difficiles.



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